Vendredi soir, la rencontre face à l'Albanie s'est disputée sous haute surveillance. Après les événements de Paris, la crainte d'attentats terroristes est toujours présente. Pour cette rencontre au "stade Qemal Stafa", des mesures de sécurité strictes avaient été prévues.
Les rues adjacentes étaient bloquées, la Police locale de Tirana avait élaboré un plan de mesures visant à assurer la loi et l'ordre avant, pendant et après le match. Pour le déroulement de la rencontre prévue à 21h00, toutes les rues avoisinantes étaient fermées à partir de 18h00 et jusqu'à minuit. Les stationnement des véhicules étaient interdits et les commerces proches fermés. Des contrôles routiers ont même été effectués par les services de police sur les différents usagers de la route.
La promotion du match auprès du public avait été supprimée et il était quelques centaines seulement au stade dont les accès avaient aussi été rigoureusement renforcés et contrôlés. Sur le terrain, c'est dans une ambiance humide que la France s'est imposée sans être en danger face à l'adversaire présumé le plus faible du groupe (6-0). La délégation française s'est envolée le samedi à 10h00 pour la Grèce de nouveau sous bonne escorte.
>> le compte-rendu
Les rues adjacentes étaient bloquées, la Police locale de Tirana avait élaboré un plan de mesures visant à assurer la loi et l'ordre avant, pendant et après le match. Pour le déroulement de la rencontre prévue à 21h00, toutes les rues avoisinantes étaient fermées à partir de 18h00 et jusqu'à minuit. Les stationnement des véhicules étaient interdits et les commerces proches fermés. Des contrôles routiers ont même été effectués par les services de police sur les différents usagers de la route.
La promotion du match auprès du public avait été supprimée et il était quelques centaines seulement au stade dont les accès avaient aussi été rigoureusement renforcés et contrôlés. Sur le terrain, c'est dans une ambiance humide que la France s'est imposée sans être en danger face à l'adversaire présumé le plus faible du groupe (6-0). La délégation française s'est envolée le samedi à 10h00 pour la Grèce de nouveau sous bonne escorte.
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Les Bleues ont franchi la montagne
De Tirana à Thessalonique, où elles ont atterri les Françaises n'avaient à vol d'oiseau que 276 km à franchir. Mais face à la chaîne montagneuse où se situe le Mont Olympe, il a fallu près d'une heure de vol. Après avoir ralliées Katerini par la route, les Françaises ont effectué samedi après-midi, un décrassage.
Depuis leur arrivée en Grèce, la sécurité est toujours de mise. Ce dimanche en fin de journée, à l'horaire du match de mardi prochain (18h45), les Bleues ont pu s'entraîner. Une nouvelle séance aura lieu ce lundi soir sur le terrain du match.
Depuis leur arrivée en Grèce, la sécurité est toujours de mise. Ce dimanche en fin de journée, à l'horaire du match de mardi prochain (18h45), les Bleues ont pu s'entraîner. Une nouvelle séance aura lieu ce lundi soir sur le terrain du match.
Paysage plus calme sous les plages du bord de la Mer Egée (photo A. Mesa/FFF)