Les Bleues affichées sur le siège de la FFF
Pas de secret
"Il n'a jamais été question de ça», a déclaré Bergeroo lors d'un court entretien avec La 90e minute interrogé sur l'éventualité de jouer à huis clos. "On nous a simplement dit, 'ça vous gêne s'il y a du public?' Nous avons dit, 'non, il n'y a aucun problème'." Les Bleues devraient d'ailleurs proposer toutes leurs séances en accès au public, sous réserve de l'autorisation de la FIFA pour les veilles de match.
Derniers réglages
Philippe Bergeroo voulait effectuer ce dernier rendez-vous amical afin de peaufiner la préparation et de s'adapter aux conditions locales. "Il y en a quelques-uns (à propos des ajustements). C'est surtout de retrouver nos automatismes. On a mis en place un projet de jeu depuis deux ans, donc c'est un dernier match (préparatoire) où on va tout faire pour se mettre dans les meilleures conditions avant d'affronter cette équipe anglaise."
Le préparateur voit juste
Interrogé par l'AFP, Frédéric Aubert a étudié les difficultés des Bleues pour perfectionner le groupe : "On a regardé les nations qui nous ont posé problème récemment. Les Japonaises, c’est une question de vivacité, de motricité athlétique. Les Allemandes (nous) posent problème sur le plan de la densité musculaire. Enfin, on a souvent été débordés par les Américaines sur le plan énergétique". Des analyses qui ont abouti : "On a institué des fonctionnements qui n’étaient pas des habitudes en équipe de France, avec systématiquement du renforcement musculaire et régulièrement des blocs d’aérobie en sortie de football. Et de la vivacité sur les entrées de séance et les échauffements"
"Il n'a jamais été question de ça», a déclaré Bergeroo lors d'un court entretien avec La 90e minute interrogé sur l'éventualité de jouer à huis clos. "On nous a simplement dit, 'ça vous gêne s'il y a du public?' Nous avons dit, 'non, il n'y a aucun problème'." Les Bleues devraient d'ailleurs proposer toutes leurs séances en accès au public, sous réserve de l'autorisation de la FIFA pour les veilles de match.
Derniers réglages
Philippe Bergeroo voulait effectuer ce dernier rendez-vous amical afin de peaufiner la préparation et de s'adapter aux conditions locales. "Il y en a quelques-uns (à propos des ajustements). C'est surtout de retrouver nos automatismes. On a mis en place un projet de jeu depuis deux ans, donc c'est un dernier match (préparatoire) où on va tout faire pour se mettre dans les meilleures conditions avant d'affronter cette équipe anglaise."
Le préparateur voit juste
Interrogé par l'AFP, Frédéric Aubert a étudié les difficultés des Bleues pour perfectionner le groupe : "On a regardé les nations qui nous ont posé problème récemment. Les Japonaises, c’est une question de vivacité, de motricité athlétique. Les Allemandes (nous) posent problème sur le plan de la densité musculaire. Enfin, on a souvent été débordés par les Américaines sur le plan énergétique". Des analyses qui ont abouti : "On a institué des fonctionnements qui n’étaient pas des habitudes en équipe de France, avec systématiquement du renforcement musculaire et régulièrement des blocs d’aérobie en sortie de football. Et de la vivacité sur les entrées de séance et les échauffements"
Le haut niveau, c'est quelque chose d'autre
Les coussins pour permettre aux Bleues de mieux travailler les appuis sur synthétique (photo FFF)
Réaliste
Le sélectionneur du Québec battu par la France déclarait après match : "Ç'a absolument valu la peine. Comme je l'ai dit dès le début, nos filles n'ont pas la chance de voir c'est quoi le haut niveau. Dans la tête de plusieurs personnes au Québec, le Rouge et Or c'est le haut niveau, l'Université de Montréal c'est le haut niveau… Mais c'est pas vrai, le haut niveau, c'est quelque chose d'autre"
La MLS pour se détendre
Les Bleues ont achevé leur mercredi dans les tribunes du stade Saputo pour assister à la rencontre de MLS (Major League Soccer) opposant Montréal à Vancouver - deux des trois équipes masculines canadiennes (avec le Toronto FC) engagées dans le championnat Nord-Américain où participent essentiellement des équipes des Etats-Unis.
Un "Rust" se rappelle la belle époque !
Arrivé dans le staff tricolore à la rentrée dernière, l'entraîneur des gardiennes Albert Rust s'est exprimé sur sa vie en Bleue : "Au départ, j’avais un peu de retenue lors de mon premier rassemblement. J’étais, tout comme les joueuses, sur la défensive. Mais rapidement, ce fut super ! J’ai été adopté très rapidement et je suis ravi de vivre cette expérience. C’est une véritable aventure humaine. Ces filles me rappellent mon époque. Elles ont le même état esprit. On les sent passionnées, elles aiment réellement le foot (...) Exactement ce que j’aime."
Le sélectionneur du Québec battu par la France déclarait après match : "Ç'a absolument valu la peine. Comme je l'ai dit dès le début, nos filles n'ont pas la chance de voir c'est quoi le haut niveau. Dans la tête de plusieurs personnes au Québec, le Rouge et Or c'est le haut niveau, l'Université de Montréal c'est le haut niveau… Mais c'est pas vrai, le haut niveau, c'est quelque chose d'autre"
La MLS pour se détendre
Les Bleues ont achevé leur mercredi dans les tribunes du stade Saputo pour assister à la rencontre de MLS (Major League Soccer) opposant Montréal à Vancouver - deux des trois équipes masculines canadiennes (avec le Toronto FC) engagées dans le championnat Nord-Américain où participent essentiellement des équipes des Etats-Unis.
Un "Rust" se rappelle la belle époque !
Arrivé dans le staff tricolore à la rentrée dernière, l'entraîneur des gardiennes Albert Rust s'est exprimé sur sa vie en Bleue : "Au départ, j’avais un peu de retenue lors de mon premier rassemblement. J’étais, tout comme les joueuses, sur la défensive. Mais rapidement, ce fut super ! J’ai été adopté très rapidement et je suis ravi de vivre cette expérience. C’est une véritable aventure humaine. Ces filles me rappellent mon époque. Elles ont le même état esprit. On les sent passionnées, elles aiment réellement le foot (...) Exactement ce que j’aime."
Historique
Jeudi, récup'
Au lendemain du match face au Québec, l'accent a été mis sur la récupération, à la veille du départ ce vendredi pour la ville de Moncton, située de 2 heures d’avion de Laval. Les Bleues ne sont plus qu'à quelques jours des débuts avec France-Angleterre, mardi 9 juin à 19h00.
Le Québec supporter des Bleues
"Nous avons une belle entente Québec-France et c'est formidable que le Québec nous supporte en deuxième après le Canada" a déclaré Camille Abily mercredi après le match.
Historique
La rencontre entre la France et le Québec a été ainsi qualifié par Michel Dugas, de la Fédération québécoise de soccer (FQS) : "C'est un jour historique pour ces joueuses du Québec. Elles rêvent depuis longtemps de jouer ce genre de partie qui restera à jamais gravé dans la mémoire des 18 filles. Les Françaises ont été gentilles, car elles ont donné leur maillot. Quels beaux souvenirs!"
74 000 licenciés
Alors que la France compte désormais 85 000 joueuses, le Québec où les Françaises auront passé une semaine compte pour sa part 74 000 licenciés.
Au lendemain du match face au Québec, l'accent a été mis sur la récupération, à la veille du départ ce vendredi pour la ville de Moncton, située de 2 heures d’avion de Laval. Les Bleues ne sont plus qu'à quelques jours des débuts avec France-Angleterre, mardi 9 juin à 19h00.
Le Québec supporter des Bleues
"Nous avons une belle entente Québec-France et c'est formidable que le Québec nous supporte en deuxième après le Canada" a déclaré Camille Abily mercredi après le match.
Historique
La rencontre entre la France et le Québec a été ainsi qualifié par Michel Dugas, de la Fédération québécoise de soccer (FQS) : "C'est un jour historique pour ces joueuses du Québec. Elles rêvent depuis longtemps de jouer ce genre de partie qui restera à jamais gravé dans la mémoire des 18 filles. Les Françaises ont été gentilles, car elles ont donné leur maillot. Quels beaux souvenirs!"
74 000 licenciés
Alors que la France compte désormais 85 000 joueuses, le Québec où les Françaises auront passé une semaine compte pour sa part 74 000 licenciés.
