(photo : Eric Baledent)
En préambule à la conférence de presse, Gaetane Thiney a reçu de Bernadette Constantin et Marilou Duringer, le fanion pour sa 50e sélection honorée face au Canada, de même avec Laura Georges pour sa 100e sélection.
Si mardi soir, la France a connu sa première défaite de la Coupe du Monde, le sélectionneur pouvait toujours positivé : "C'est un bonheur d'être en quart. Aujourd'hui, il y a 8 équipes qui partent". Interrogé sur ce qui a manqué aux Bleues, il a notamment souligné l'importance du public allemand : "On a joué à 12 contre 11", un record pour un match où évolue la France. Ce match contre l'Allemagne était calé avant un quart de finale qui reste "l'objectif prioritaire". Mais malgré cela, les joueuses se sont montrées toutes concernées : "Les 21 étaient motivées, à 2-1, et à 3-2, les remplaçantes étaient aussi présentes. Tout cela devant 45 000 spectateurs et à dix contre onze, elles ont fait quelque chose de grand face à une équipe qui a tout gagné" avant de conclure déterminé : "Et même si on a perdu, on peut bâtir là dessus, et on va bâtir !".
Face à l'Angleterre, finaliste du dernier Euro (défaite 2-6 contre l'Allemagne), la rencontre s'annonce comme une nouvelle marche à franchir pour les Bleues : "Ce sera le match le plus important, mais en Coupe du Monde, tous les matchs sont importants et celui-ci n'est qu'une étape". Une affiche disputée qui semble proche du 50-50 : "C'est un match où il faudra jouer plus proches les unes des autres, et au sol. L'Angleterre, c'est comme nous sauf qu'elles ont une finale. L'Allemagne, c'était 7 titres". La conclusion était pour Gaetane Thiney : "On se présente toutes ensembles pour montrer que le groupe est uni dans le but commun d'aller le plus loin possible".
En fin de journée, seules les joueuses qui n'ont pas participé à la rencontre ont effectué une séance d'entraînement, les autres avaient un programme de récupération.
A Düsseldorf,
Sébastien Duret
Si mardi soir, la France a connu sa première défaite de la Coupe du Monde, le sélectionneur pouvait toujours positivé : "C'est un bonheur d'être en quart. Aujourd'hui, il y a 8 équipes qui partent". Interrogé sur ce qui a manqué aux Bleues, il a notamment souligné l'importance du public allemand : "On a joué à 12 contre 11", un record pour un match où évolue la France. Ce match contre l'Allemagne était calé avant un quart de finale qui reste "l'objectif prioritaire". Mais malgré cela, les joueuses se sont montrées toutes concernées : "Les 21 étaient motivées, à 2-1, et à 3-2, les remplaçantes étaient aussi présentes. Tout cela devant 45 000 spectateurs et à dix contre onze, elles ont fait quelque chose de grand face à une équipe qui a tout gagné" avant de conclure déterminé : "Et même si on a perdu, on peut bâtir là dessus, et on va bâtir !".
Face à l'Angleterre, finaliste du dernier Euro (défaite 2-6 contre l'Allemagne), la rencontre s'annonce comme une nouvelle marche à franchir pour les Bleues : "Ce sera le match le plus important, mais en Coupe du Monde, tous les matchs sont importants et celui-ci n'est qu'une étape". Une affiche disputée qui semble proche du 50-50 : "C'est un match où il faudra jouer plus proches les unes des autres, et au sol. L'Angleterre, c'est comme nous sauf qu'elles ont une finale. L'Allemagne, c'était 7 titres". La conclusion était pour Gaetane Thiney : "On se présente toutes ensembles pour montrer que le groupe est uni dans le but commun d'aller le plus loin possible".
En fin de journée, seules les joueuses qui n'ont pas participé à la rencontre ont effectué une séance d'entraînement, les autres avaient un programme de récupération.
A Düsseldorf,
Sébastien Duret