Bruno Bini, sélectionneur de la France
J'ai l'habitude de prendre ce que la vie me donne, alors je vais continuer à le faire pour ce tirage. Nous ne saurons qu'à la fin de la phase de groupes si ce tirage est bons ou s'il ne l'est pas. Vous ne savez jamais comment les choses vont se dérouler pendant un tel tournoi. La France et l'Angleterre sont considérées comme les favoris de ce groupe étant donné leurs classements respectifs, et parce que nous avons joué la Coupe du Monde (de la FIFA) et les Jeux Olympiques, mais les matches peuvent vraiment se compliquer. Nous allons entamer le premier match vraiment calmement, avec de l'envie et le respect de notre adversaire, comme toujours, nous n'allons rien changer.
Hope Powell, sélectionneuse de l'Angleterre
C'est difficile, tous les matches sont difficiles. Maintenant nous savons qui nous allons affronter, on va essayer de bien se préparer, de la bonne manière. Mais ce groupe, c'est un véritable défi. Nous avons joué la France il y a deux semaines (match nul deux buts partout), la Russie en 2009 (victoire trois buts à deux), c'était il y a un moment, et l'Espagne contre laquelle nous avons livré quelques duels qui ont toujours été difficiles. Alors, de manière globale, c'est un groupe qui sera dur. Mais je m'y attendais. Quel que soit le groupe dans lequel nous serions tombées, la difficulté aurait été au rendez-vous. Maintenant, place à la préparation.
Sergei Lavrentyev, sélectionneur de la Russie
Je ne suis jamais heureux ou malheureux. Je pense qu'il n'y a pas d'équipe faible ici. Nous avons évité la nation organisatrice (la Suède) et l'Allemagne… Alors il va falloir qu'on s'affirme, mais je pense que nous allons être prêts pour cette compétition, nous allons nous préparer de la bonne manière. En Russie, le football féminin est en train de gagner en popularité, chaque jour il attire de nouveaux spectateurs. Le premier match sera contre la France, ce ne sera pas facile, c'est une bonne équipe. C'est une équipe qui est plus expérimentée que la nôtre, une équipe qui a joué des compétitions internationales depuis quelques années au plus haut niveau, et je pense que nous avons tous pour rivaliser avec elle. Nous avons confiance en notre équipe.
Ignacio Quereda, sélectionneur de l'Espagne
Nous sommes contents parce que nous avons déjà réussi à nous qualifier pour cette phase finale. C'est la deuxième fois que l'on atteint ce niveau ultime. Il y a de l'espoir et de la fierté, il y a beaucoup d'attentes avant ce tournoi. Nous connaissons bien l'Angleterre, nous l'avons affrontée en éliminatoires lors des deux dernières compétitions, pour la Coupe du Monde de la FIFA (2011) il pour l'EURO (2009). Nous connaissons la Russie aussi et quant à la France on la connaît bien également bien que nous ne les ayons pas affrontés récemment. Il y a une grande amitié entre toutes ces équipes et nous avons échangé des informations avec leurs fédérations à de nombreuses reprises, alors on se connaît tous très bien. On va bien sûr étudier chacune de ses équipes et se concentrer avant ce tournoi, mais nous sommes contents et optimistes.
Avec UEFA
J'ai l'habitude de prendre ce que la vie me donne, alors je vais continuer à le faire pour ce tirage. Nous ne saurons qu'à la fin de la phase de groupes si ce tirage est bons ou s'il ne l'est pas. Vous ne savez jamais comment les choses vont se dérouler pendant un tel tournoi. La France et l'Angleterre sont considérées comme les favoris de ce groupe étant donné leurs classements respectifs, et parce que nous avons joué la Coupe du Monde (de la FIFA) et les Jeux Olympiques, mais les matches peuvent vraiment se compliquer. Nous allons entamer le premier match vraiment calmement, avec de l'envie et le respect de notre adversaire, comme toujours, nous n'allons rien changer.
Hope Powell, sélectionneuse de l'Angleterre
C'est difficile, tous les matches sont difficiles. Maintenant nous savons qui nous allons affronter, on va essayer de bien se préparer, de la bonne manière. Mais ce groupe, c'est un véritable défi. Nous avons joué la France il y a deux semaines (match nul deux buts partout), la Russie en 2009 (victoire trois buts à deux), c'était il y a un moment, et l'Espagne contre laquelle nous avons livré quelques duels qui ont toujours été difficiles. Alors, de manière globale, c'est un groupe qui sera dur. Mais je m'y attendais. Quel que soit le groupe dans lequel nous serions tombées, la difficulté aurait été au rendez-vous. Maintenant, place à la préparation.
Sergei Lavrentyev, sélectionneur de la Russie
Je ne suis jamais heureux ou malheureux. Je pense qu'il n'y a pas d'équipe faible ici. Nous avons évité la nation organisatrice (la Suède) et l'Allemagne… Alors il va falloir qu'on s'affirme, mais je pense que nous allons être prêts pour cette compétition, nous allons nous préparer de la bonne manière. En Russie, le football féminin est en train de gagner en popularité, chaque jour il attire de nouveaux spectateurs. Le premier match sera contre la France, ce ne sera pas facile, c'est une bonne équipe. C'est une équipe qui est plus expérimentée que la nôtre, une équipe qui a joué des compétitions internationales depuis quelques années au plus haut niveau, et je pense que nous avons tous pour rivaliser avec elle. Nous avons confiance en notre équipe.
Ignacio Quereda, sélectionneur de l'Espagne
Nous sommes contents parce que nous avons déjà réussi à nous qualifier pour cette phase finale. C'est la deuxième fois que l'on atteint ce niveau ultime. Il y a de l'espoir et de la fierté, il y a beaucoup d'attentes avant ce tournoi. Nous connaissons bien l'Angleterre, nous l'avons affrontée en éliminatoires lors des deux dernières compétitions, pour la Coupe du Monde de la FIFA (2011) il pour l'EURO (2009). Nous connaissons la Russie aussi et quant à la France on la connaît bien également bien que nous ne les ayons pas affrontés récemment. Il y a une grande amitié entre toutes ces équipes et nous avons échangé des informations avec leurs fédérations à de nombreuses reprises, alors on se connaît tous très bien. On va bien sûr étudier chacune de ses équipes et se concentrer avant ce tournoi, mais nous sommes contents et optimistes.
Avec UEFA