(photo : E Baledent/Le Moustic Production)
Laure, c’est comment les Antilles ?
C’est la première fois que j’y vais et je trouve que nous avons un cadre idyllique avec un hôtel en bord de plage et une eau…magnifique. Nous avons aussi eu droit à un accueil chaleureux. Nous sommes arrivées un peu en retard lundi mais nous avons quand même été nous entraîner et des gens avaient attendu que l’on arrive, c’est bien. Ils sont très accueillant, nous avons été faire une séance de dédicaces ce matin (mardi) et il y avait de la musique, certains dansaient, c’était chaleureux. C’est une ambiance différente de la métropole, ils ont quand même des traditions : la musique, la danse, ça nous change. J’ai déjà voyagé dans les îles et ça ne me dépayse pas trop.
Cette tournée, vous la prenez comme une récompense ?
On a beau dire que c’est une fierté, une récompense de venir ici, on a quand même deux matches à jouer mercredi et dimanche. Il faut bien les négocier et s’imposer. Cela reste des matches internationaux où il ne faut pas faire n’importe quoi.
C’est la première fois que j’y vais et je trouve que nous avons un cadre idyllique avec un hôtel en bord de plage et une eau…magnifique. Nous avons aussi eu droit à un accueil chaleureux. Nous sommes arrivées un peu en retard lundi mais nous avons quand même été nous entraîner et des gens avaient attendu que l’on arrive, c’est bien. Ils sont très accueillant, nous avons été faire une séance de dédicaces ce matin (mardi) et il y avait de la musique, certains dansaient, c’était chaleureux. C’est une ambiance différente de la métropole, ils ont quand même des traditions : la musique, la danse, ça nous change. J’ai déjà voyagé dans les îles et ça ne me dépayse pas trop.
Cette tournée, vous la prenez comme une récompense ?
On a beau dire que c’est une fierté, une récompense de venir ici, on a quand même deux matches à jouer mercredi et dimanche. Il faut bien les négocier et s’imposer. Cela reste des matches internationaux où il ne faut pas faire n’importe quoi.
« Ici, c’est un grand évènement de recevoir l’équipe de France »
Comment se prépare l’équipe de France pour cette rencontre ?
On a fait un décrassage hier soir (lundi) et on s’entraîne cet après-midi (mardi) sur le terrain du match. On sait que ce sera difficile car il y aura le facteur chaleur qui jouera car il ne sera que 15h45 quand le match débutera mais on n’a pas le choix.
A priori, le stade serait plein, c’est très bien. En tout cas, ici, c’est un grand évènement de recevoir l’équipe de France.
Connaissez-vous cette formation uruguayenne, 68e au classement FIFA ?
C’est une équipe que l’on n’a jamais jouée. Mais c’est bien de voir un autre football et de se confronter à des formations que l’on n’a pas l’habitude d’affronter puisque l’on joue plutôt des équipes européennes d’habitude. Je me trompe peut-être mais leur le style de jeu doit ressembler aux autres équipes sud-américaines comme le Brésil. Je pense que c’est une formation assez technique mais on va en reparler ce soir (mardi) entre nous.
Bruno Bini avait dit qu’il aimerait se frotter à de grosses nations mais ce ne sera pas le cas aux Antilles.
Certes on joue l’Uruguay lors du premier match mais après on affronte le Mexique qui était à la Coupe du monde et ce n’est pas une équipe à prendre à la légère. Si elle a été jusqu’en Allemagne, ce n’est pas pour rien. Ce ne seront pas deux matches faciles, il va falloir s’adapter aux conditions et ne négliger aucune équipe.
Vous étiez titulaire pendant le mondial mais lors des éliminatoires de l’Euro, vous étiez dans la peau d’une remplaçante, comment le vivez-vous ?
Je le vis bien, le sélectionneur fait des choix. Pour moi, c’est d’abord une grande fierté de faire partie du groupe France. Il y a des matches que je débute, d’autres non, ce n’est pas grave, c’est comme ça. Il y a beaucoup de personnes qui aimeraient être à notre place, il faut mesurer la chance que nous avons.
Thibault Simonnet
LA FICHE DE LAURE LEPAILLEUR
On a fait un décrassage hier soir (lundi) et on s’entraîne cet après-midi (mardi) sur le terrain du match. On sait que ce sera difficile car il y aura le facteur chaleur qui jouera car il ne sera que 15h45 quand le match débutera mais on n’a pas le choix.
A priori, le stade serait plein, c’est très bien. En tout cas, ici, c’est un grand évènement de recevoir l’équipe de France.
Connaissez-vous cette formation uruguayenne, 68e au classement FIFA ?
C’est une équipe que l’on n’a jamais jouée. Mais c’est bien de voir un autre football et de se confronter à des formations que l’on n’a pas l’habitude d’affronter puisque l’on joue plutôt des équipes européennes d’habitude. Je me trompe peut-être mais leur le style de jeu doit ressembler aux autres équipes sud-américaines comme le Brésil. Je pense que c’est une formation assez technique mais on va en reparler ce soir (mardi) entre nous.
Bruno Bini avait dit qu’il aimerait se frotter à de grosses nations mais ce ne sera pas le cas aux Antilles.
Certes on joue l’Uruguay lors du premier match mais après on affronte le Mexique qui était à la Coupe du monde et ce n’est pas une équipe à prendre à la légère. Si elle a été jusqu’en Allemagne, ce n’est pas pour rien. Ce ne seront pas deux matches faciles, il va falloir s’adapter aux conditions et ne négliger aucune équipe.
Vous étiez titulaire pendant le mondial mais lors des éliminatoires de l’Euro, vous étiez dans la peau d’une remplaçante, comment le vivez-vous ?
Je le vis bien, le sélectionneur fait des choix. Pour moi, c’est d’abord une grande fierté de faire partie du groupe France. Il y a des matches que je débute, d’autres non, ce n’est pas grave, c’est comme ça. Il y a beaucoup de personnes qui aimeraient être à notre place, il faut mesurer la chance que nous avons.
Thibault Simonnet
LA FICHE DE LAURE LEPAILLEUR
