Laura Georges congratulée par Corine Franco (photo E Baledent/LMP)
Comment avez-vous trouver cette équipe de France ? et votre prestation ?
On fait un bon match. C’est bien. Je suis contente. On essaye de continuer et d’avoir de la régularité. Pour le moment, ça suit bien. J’ai marqué un but. La gardienne relâche, je le prends, tant mieux (elle sourit). Sur le deuxième but, je dis à Cocotte (NDLR : Corine Franco) de le laisser, elle le laisse, je mets la tête et ça marche, Wendie le met au fond. Ca a bien marché. Défensivement on était bien en place. On avait à cœur de bien défendre, je suis très contente pour ça.
Bruno Bini vous a qualifié avec Wendie de garde noire, ça te fait plaisir ?
Il en parle souvent. C’est bien la garde noire fait des résultats, on espère que ça va nous suivre.
A la fin du match, quand vous allez vers Marilou Duringer, vous lui dites "le ciel va nous tomber sur la tête", pourquoi ?
Parce que je marque, parce que c’est rare. Ces temps-ci je ne marque qu’avec l’équipe nationale. Je dis ça parce que pour moi c’est vraiment trop rare.
On fait un bon match. C’est bien. Je suis contente. On essaye de continuer et d’avoir de la régularité. Pour le moment, ça suit bien. J’ai marqué un but. La gardienne relâche, je le prends, tant mieux (elle sourit). Sur le deuxième but, je dis à Cocotte (NDLR : Corine Franco) de le laisser, elle le laisse, je mets la tête et ça marche, Wendie le met au fond. Ca a bien marché. Défensivement on était bien en place. On avait à cœur de bien défendre, je suis très contente pour ça.
Bruno Bini vous a qualifié avec Wendie de garde noire, ça te fait plaisir ?
Il en parle souvent. C’est bien la garde noire fait des résultats, on espère que ça va nous suivre.
A la fin du match, quand vous allez vers Marilou Duringer, vous lui dites "le ciel va nous tomber sur la tête", pourquoi ?
Parce que je marque, parce que c’est rare. Ces temps-ci je ne marque qu’avec l’équipe nationale. Je dis ça parce que pour moi c’est vraiment trop rare.
"Je me sens bien, je récupère bien"
C’est la journée des Guadeloupéens en ce moment (en référence à Rinner, médaillé d'or en judo)...
Teddy Rinner, c’est la gagne, la compétition, les victoires. C'est un monstre de victoire. Contente pour lui. Il y a un groupe aux Antilles qui nous suit, ce sont des supporters guadeloupéens qui se mobilisent pour nous. Je pense que le match était tôt à 5 heures 6 heures du matin, mais les gens devaient être vraiment fous. Depuis le début du tournoi, il nous suivent les Antillaises et là ça marche. Ouaouh !
Il y avait la famille qui était là. Je les ai cherché, je ne les ai pas trouvé. J’avais pu discuter avec mon père avant le match. Il disait de rester bien concentrés en première et deuxième mi-temps et de pas montrer de faiblesse, de fatigue pour rester bien lucides et concernées pendant tout le match.
On vous a senti énorme ?
Je me sens bien, je récupère bien. Il était important pour nous de bien dormir, de bien récupérer. Je m’étais donné comme objectif de bien récupérer pour être au top physiquement. Je n’ai pas bien dormi cette nuit. Mais cette saison, je n’ai pas eu trop de matchs dans les jambes, ça m’a permis sûrement d’avoir les jambes dans la compétition. Là on est sereines mais avant le match, je ne savais que ça pouvait donner. Ca ne m’a pas dérangé de me lever tôt. Mais match à midi, ce n’est pas le plus intéressant. Moi j’ai pris un petit déj’. Les filles, elles étaient aux pâtes mais moi j’ai dit non non ! J’ai pris ce qu’il fallait pour être costaude sur le terrain, mais pour ne pas être trop lourde sur le terrain (rires).
Propos recueillis à Glasgow
Sébastien Duret
Teddy Rinner, c’est la gagne, la compétition, les victoires. C'est un monstre de victoire. Contente pour lui. Il y a un groupe aux Antilles qui nous suit, ce sont des supporters guadeloupéens qui se mobilisent pour nous. Je pense que le match était tôt à 5 heures 6 heures du matin, mais les gens devaient être vraiment fous. Depuis le début du tournoi, il nous suivent les Antillaises et là ça marche. Ouaouh !
Il y avait la famille qui était là. Je les ai cherché, je ne les ai pas trouvé. J’avais pu discuter avec mon père avant le match. Il disait de rester bien concentrés en première et deuxième mi-temps et de pas montrer de faiblesse, de fatigue pour rester bien lucides et concernées pendant tout le match.
On vous a senti énorme ?
Je me sens bien, je récupère bien. Il était important pour nous de bien dormir, de bien récupérer. Je m’étais donné comme objectif de bien récupérer pour être au top physiquement. Je n’ai pas bien dormi cette nuit. Mais cette saison, je n’ai pas eu trop de matchs dans les jambes, ça m’a permis sûrement d’avoir les jambes dans la compétition. Là on est sereines mais avant le match, je ne savais que ça pouvait donner. Ca ne m’a pas dérangé de me lever tôt. Mais match à midi, ce n’est pas le plus intéressant. Moi j’ai pris un petit déj’. Les filles, elles étaient aux pâtes mais moi j’ai dit non non ! J’ai pris ce qu’il fallait pour être costaude sur le terrain, mais pour ne pas être trop lourde sur le terrain (rires).
Propos recueillis à Glasgow
Sébastien Duret