Petkov à droite, à la tête de la sélection kazakhe (photo SKZ)
Dans quel état psychologique est l'équipe ?
Nous avons utilisé ces jours-ci pour la récupération physique. Le mental de l'équipe est bon parce que nous avons joué contre une équipe très forte. Le match cntre la Finlande nous a montré un jeu intéressant. Maintenant il faut oublier cette défaite et toutes nos pensées sont tournées vers la France. Nous allons essayer de donner une belle opposition.
Après le match contre la Finlande, vous avez dit que si l'équipe battait la France, ce serait un miracle.
Je m'attendais à cette question. C'était après le match contre la Finlande. Il y a six équipes seulement dans le groupe et notre niveau est inférieur. Tout le monde comprend que notre objectif est la troisième place dans le groupe. Il y a d'autres adversaires où nous aurons plus de chances de marquer des points. Nous allons livrer un match difficile contre l'équipe de France, nous ferons en sorte de le faire au mieux.
Après la Finlande, vous avez dit que votre équipe n'avait pas la confiance. Comment pensez-vous résoudre ce problème ?
Oui, il s'agit d'un problème, mais je répète que l'adversaire était plus fort que nous sur la qualité de ses joueuses. Jouer au football sans fermer le jeu avec des équipes comme la France et la Finlande — pour nous, c'est du suicide.
Le football féminin progresse-t-il dans votre pays ?
Quand j'ai commencé à jouer au football au Kazakhstan il n'avait qu'une seule équipe nationale, maintenant il y a des équipes U17 et U19. Le football féminin est actuellement pratiqué par les étudiants. Aussi longtemps que vous avez une bourse d'études, vous le pratiquez mais après 24 ans, continuer à jouer au football est difficile. Maintenant il n'y a que deux clubs du pays qui offrent de bonnes conditions. Il n'y a qu'un millier de personnes qui jouent au football. Jusqu'à seize ans, garçons et filles sont ensemble. Pour faire l'équipe nationale, le choix doit se faire 25 personnes. Bien sûr, le progrès est là, mais, la croissance se limite là lorsque la sélection tourne à 25, c'est difficile de prendre cela au sérieux.
Nous avons utilisé ces jours-ci pour la récupération physique. Le mental de l'équipe est bon parce que nous avons joué contre une équipe très forte. Le match cntre la Finlande nous a montré un jeu intéressant. Maintenant il faut oublier cette défaite et toutes nos pensées sont tournées vers la France. Nous allons essayer de donner une belle opposition.
Après le match contre la Finlande, vous avez dit que si l'équipe battait la France, ce serait un miracle.
Je m'attendais à cette question. C'était après le match contre la Finlande. Il y a six équipes seulement dans le groupe et notre niveau est inférieur. Tout le monde comprend que notre objectif est la troisième place dans le groupe. Il y a d'autres adversaires où nous aurons plus de chances de marquer des points. Nous allons livrer un match difficile contre l'équipe de France, nous ferons en sorte de le faire au mieux.
Après la Finlande, vous avez dit que votre équipe n'avait pas la confiance. Comment pensez-vous résoudre ce problème ?
Oui, il s'agit d'un problème, mais je répète que l'adversaire était plus fort que nous sur la qualité de ses joueuses. Jouer au football sans fermer le jeu avec des équipes comme la France et la Finlande — pour nous, c'est du suicide.
Le football féminin progresse-t-il dans votre pays ?
Quand j'ai commencé à jouer au football au Kazakhstan il n'avait qu'une seule équipe nationale, maintenant il y a des équipes U17 et U19. Le football féminin est actuellement pratiqué par les étudiants. Aussi longtemps que vous avez une bourse d'études, vous le pratiquez mais après 24 ans, continuer à jouer au football est difficile. Maintenant il n'y a que deux clubs du pays qui offrent de bonnes conditions. Il n'y a qu'un millier de personnes qui jouent au football. Jusqu'à seize ans, garçons et filles sont ensemble. Pour faire l'équipe nationale, le choix doit se faire 25 personnes. Bien sûr, le progrès est là, mais, la croissance se limite là lorsque la sélection tourne à 25, c'est difficile de prendre cela au sérieux.