Mercredi 18 mai - 19h00
FRANCE - ECOSSE : 1-1 (1-1)
Temps maussade – Pelouse humide et en bon état
Brest (Stade Francis Le Blé)
Spectateurs : 7 219
Arbitres : Sabine Bonnin assistée d'Elodie Coppola et Séverine Craipeau. 4e arbitre : Gwendoline Defente
But pour l'Ecosse : Jane ROSS 14'
But pour la France : BUSSAGLIA 44' s.p.
Aucun avertissement
FRANCE: 16-Bérangère SAPOWICZ (1-Céline DEVILLE 46') ; 8- Sonia BOMPASTOR (13-Caroline PIZZALA 76'), 4-Laura GEORGES (2-Laure LEPAILLEUR 71'), 12-Wendie RENARD (5-Sabrina VIGUIER 76'), 7-Corinne FRANCO ; 15-Elise BUSSAGLIA, 6-Sandrine SOUBEYRAND (cap.), 10-Camille ABILY (18-Marie Laure DELIE 48'), 14-Louisa NECIB (3-Laure BOULLEAU 61'), 9-Eugénie LE SOMMER (11-Sandrine BRETIGNY 54') ; 17-Gaëtane THINEY. Entr.: Bruno BINI
ECOSSE: 1-Gemma FAY (cap.) ; 15-Emma FERNON, 2-Rachael SMALL, 4 Ifeoma DIEKE, 3-Emma MITCHELL ; 5-Leanne ROSS (7-Christie MURRAY 69'), 8-Kim LITTLE 9-Megan SNEDDON, 16-Hayley LAUDER (6-Alana MARSHALL 87') ; 10-Julie FLEETING-STEWART (11-Rebecca DEMPSTER 77'), 13-Jane ROSS. Entr.: Anna SIGNEUL.
Non utilisées : 12-Shannon LYNN, 14-Jenna ROSS, 17-Nicola DOCHERTY, 18-Lisa EVANS
FRANCE - ECOSSE : 1-1 (1-1)
Temps maussade – Pelouse humide et en bon état
Brest (Stade Francis Le Blé)
Spectateurs : 7 219
Arbitres : Sabine Bonnin assistée d'Elodie Coppola et Séverine Craipeau. 4e arbitre : Gwendoline Defente
But pour l'Ecosse : Jane ROSS 14'
But pour la France : BUSSAGLIA 44' s.p.
Aucun avertissement
FRANCE: 16-Bérangère SAPOWICZ (1-Céline DEVILLE 46') ; 8- Sonia BOMPASTOR (13-Caroline PIZZALA 76'), 4-Laura GEORGES (2-Laure LEPAILLEUR 71'), 12-Wendie RENARD (5-Sabrina VIGUIER 76'), 7-Corinne FRANCO ; 15-Elise BUSSAGLIA, 6-Sandrine SOUBEYRAND (cap.), 10-Camille ABILY (18-Marie Laure DELIE 48'), 14-Louisa NECIB (3-Laure BOULLEAU 61'), 9-Eugénie LE SOMMER (11-Sandrine BRETIGNY 54') ; 17-Gaëtane THINEY. Entr.: Bruno BINI
ECOSSE: 1-Gemma FAY (cap.) ; 15-Emma FERNON, 2-Rachael SMALL, 4 Ifeoma DIEKE, 3-Emma MITCHELL ; 5-Leanne ROSS (7-Christie MURRAY 69'), 8-Kim LITTLE 9-Megan SNEDDON, 16-Hayley LAUDER (6-Alana MARSHALL 87') ; 10-Julie FLEETING-STEWART (11-Rebecca DEMPSTER 77'), 13-Jane ROSS. Entr.: Anna SIGNEUL.
Non utilisées : 12-Shannon LYNN, 14-Jenna ROSS, 17-Nicola DOCHERTY, 18-Lisa EVANS
Bussaglia a transformé le penalty sans trembler (Photos : Sebastien Duret)
Le crachin breton anesthésiait les premières minutes du match. Après un round d'observation d'un bon quart d'heure, les Bleues se faisaient doucher par les Écossaises. Sneddon trouvait Jane Ross, excentrée dans la surface française. Cette dernière armait alors une splendide frappe qui lobait Sapowicz totalement surprise par l'initiative de l'attaquante écossaise (0-1, 14'). Les Ecossaises auraient même pu corser l'addition dans la foulée mais le lob de Lauder passait cette fois à côté des buts de Sapowicz (19e).
L'Ecosse avait raté le coche car petit à petit, la France refaisait surface.
C'est d'abord Dieke, pourtant impérial hier, qui était à deux doigts de tromper sa propre gardienne. Heureusement Fay veillait au grain (27e). Puis en l'espace de trois minutes, Abily d'une frappe des 20 mètres (32e), Thiney aux six mètres (33e), et Necib d'une volée des trente mètres (34e) donnaient des sueurs froides aux Ecossaises. La domination des partenaires de Sonia Bompastor portait ses fruits juste avant la mi-temps. Le Sommer, fauché à l'extrême limite de la surface, bénéficiait d'un penalty. A tort car la faute était commise en dehors de la surface de réparation. Bussaglia transformait, elle, la sentence sans sourciller (1-1, 44').
L'Ecosse avait raté le coche car petit à petit, la France refaisait surface.
C'est d'abord Dieke, pourtant impérial hier, qui était à deux doigts de tromper sa propre gardienne. Heureusement Fay veillait au grain (27e). Puis en l'espace de trois minutes, Abily d'une frappe des 20 mètres (32e), Thiney aux six mètres (33e), et Necib d'une volée des trente mètres (34e) donnaient des sueurs froides aux Ecossaises. La domination des partenaires de Sonia Bompastor portait ses fruits juste avant la mi-temps. Le Sommer, fauché à l'extrême limite de la surface, bénéficiait d'un penalty. A tort car la faute était commise en dehors de la surface de réparation. Bussaglia transformait, elle, la sentence sans sourciller (1-1, 44').
Sept changements français en deuxième période
Le Sommer a été accrochée en dehors de la surface de réparation
En deuxième mi-temps, le sélectionneur national utilisait son effectif au maximum en faisant entrer toutes ses joueuse y compris Céline Deville. Des changements effectués en vue de préserver les Montpelliéraines pour le Challenge de France mais aussi les Lyonnaises pour la finale de la Ligue des Champions face à Potsdam dans une semaine. En fin de match, la France, fatiguée, aurait même pu s'incliner si Lauder n'avait pas été surprise de la mésentente entre Franco et Lepailleur (86e) ou si Sneddon (87e) était parvenu à crucifier Deville. Pas sélectionnée depuis septembre 2009, Brétigny aura tenté (73e, 90e). Sans réussite. La plus grosse occasion française intervenait sur un coup de pied arrêté. Hélas, le corner de Soubeyrand, dévié au premier poteau, filait finalement à côté des montants de Fay (84e).
« Il n'y a pas de blessées, c'est l'essentiel », confiait Bruno Bini à l'issue de la rencontre. Ce dernier ne reprochait d'ailleurs rien à ses filles : « Elles ont donné le meilleur d'elles-même aujourd'hui. Elles avaient l'état d'esprit» Pour lui, si certaines d'entre elles ont parfois pu jouer avec le frein à main, c'était totalement « inconscient ». Car qu'on le veuille ou non, une finale de Ligue des Champions est plus important qu'un match amical. Même si celui-ci est préparatif à la Coupe du monde 2011.
Thibault Simonnet
« Il n'y a pas de blessées, c'est l'essentiel », confiait Bruno Bini à l'issue de la rencontre. Ce dernier ne reprochait d'ailleurs rien à ses filles : « Elles ont donné le meilleur d'elles-même aujourd'hui. Elles avaient l'état d'esprit» Pour lui, si certaines d'entre elles ont parfois pu jouer avec le frein à main, c'était totalement « inconscient ». Car qu'on le veuille ou non, une finale de Ligue des Champions est plus important qu'un match amical. Même si celui-ci est préparatif à la Coupe du monde 2011.
Thibault Simonnet
Les onze françaises au coup d'envoi