A Deventer, la Suisse, après avoir disputé une première Coupe du Monde en 2015, entame son parcours dans un premier Euro 2017. Face à l'Autriche, la victoire est impérative pour les deux équipes afin de nourrir l'espoir d'une qualification pour les quarts de finale dans un groupe où la France fait figure de favori mais où le reste est ouvert entre trois formations à valeurs équivalentes.
Cette rencontre est aussi celle d'un derby entre deux équipes inspirées par le football allemand à l'image des 25 joueuses sur les 46 des deux listes à évoluer dans les championnats allemands. L'Autriche dispute la première phase finale de son histoire mais ne sera pas pour autant simple à jouer. Les Suissesses devront se méfier en premier lieu de l'attaquante Nina Burger. "Affronter l'Autriche est un véritable défi", a déclaré Martina Voss-Tecklenburg, la coach de la Suisse. L'Allemande n'ignore rien des forces et des faiblesses des Autrichiennes. Elle sait qu'elles sont vulnérables dans le repli défensif. "Ce match s'annonce très équilibré, poursuit-elle. Mais l'expérience que nous avons acquise lors de la Coupe du monde 2015 et le tournoi préolympique de 2016 va nous servir."
Dans le camp autrichien, on devra aussi se méfier de joueuses suisses renommées comme Lara Dickenmann, Ramona Bachmann, Ana Maria Crnogorcevic, sans oublier la buteuse Martina Moser.
Cette rencontre est aussi celle d'un derby entre deux équipes inspirées par le football allemand à l'image des 25 joueuses sur les 46 des deux listes à évoluer dans les championnats allemands. L'Autriche dispute la première phase finale de son histoire mais ne sera pas pour autant simple à jouer. Les Suissesses devront se méfier en premier lieu de l'attaquante Nina Burger. "Affronter l'Autriche est un véritable défi", a déclaré Martina Voss-Tecklenburg, la coach de la Suisse. L'Allemande n'ignore rien des forces et des faiblesses des Autrichiennes. Elle sait qu'elles sont vulnérables dans le repli défensif. "Ce match s'annonce très équilibré, poursuit-elle. Mais l'expérience que nous avons acquise lors de la Coupe du monde 2015 et le tournoi préolympique de 2016 va nous servir."
Dans le camp autrichien, on devra aussi se méfier de joueuses suisses renommées comme Lara Dickenmann, Ramona Bachmann, Ana Maria Crnogorcevic, sans oublier la buteuse Martina Moser.
Conférence d'avant-match des deux entraîneurs
Dominik Thalhammer (sélectionneur de l'Autriche) :
"Je suis content que cela débute, c'est une longue attente. L'équipe est en bonne physique et aussi de bonne humeur. Nous sommes bien préparés et nous espérons continuer notre bonne forme récente.
La Suisse a beaucoup de qualité et d'expérience, mais nous restons sereins. Il n'y a pas encore de pression parce qu'elles sont au dessus au classement FIFA et ont plus d'expérience à ce niveau. Pourtant nous allons faire tout notre possible pour les gêner".
Martina Voss-Tecklenburg (sélectionneuse de la Suisse) :
"Nous sommes très heureux d'être ici et que le tournoi débute. C'est bien de savoir où nous nous situons et c'est un derby contre l'Autriche. Je ne m'attends pas à un jeu particulièrement physique juste parce que c'est un derby. Je pense que ce sera plus axer sur l'équipe qui pourra le mieux contre-attaquer. Nous connaissons beaucoup de joueuses autrichiennes de la Bundesliga mais nous savons que Nina Burger est une menace particulière".
Dominik Thalhammer (sélectionneur de l'Autriche) :
"Je suis content que cela débute, c'est une longue attente. L'équipe est en bonne physique et aussi de bonne humeur. Nous sommes bien préparés et nous espérons continuer notre bonne forme récente.
La Suisse a beaucoup de qualité et d'expérience, mais nous restons sereins. Il n'y a pas encore de pression parce qu'elles sont au dessus au classement FIFA et ont plus d'expérience à ce niveau. Pourtant nous allons faire tout notre possible pour les gêner".
Martina Voss-Tecklenburg (sélectionneuse de la Suisse) :
"Nous sommes très heureux d'être ici et que le tournoi débute. C'est bien de savoir où nous nous situons et c'est un derby contre l'Autriche. Je ne m'attends pas à un jeu particulièrement physique juste parce que c'est un derby. Je pense que ce sera plus axer sur l'équipe qui pourra le mieux contre-attaquer. Nous connaissons beaucoup de joueuses autrichiennes de la Bundesliga mais nous savons que Nina Burger est une menace particulière".
LES DEUX SELECTIONS ET L'EURO
Les chiffres de l'Autriche à l'Euro
Victoires : 0
Finalistes : 0
Nombre de phases finales : 1re participation
Bilan en phases finales : -
Nombre de présence dans le dernier carré : 0
Les chiffres de la Suisse à l'Euro
Victoires : 0
Finalistes : 0
Nombre de phases finales : 1ee participation
Bilan en phases finales : -
Nombre de présence dans le dernier carré : 0
Victoires : 0
Finalistes : 0
Nombre de phases finales : 1re participation
Bilan en phases finales : -
Nombre de présence dans le dernier carré : 0
Les chiffres de la Suisse à l'Euro
Victoires : 0
Finalistes : 0
Nombre de phases finales : 1ee participation
Bilan en phases finales : -
Nombre de présence dans le dernier carré : 0
LE MATCH
Autriche - Suisse : 18h00
Deventer (Stadion De Adelaarshorst)
Arbitres : Bibiana Steinhaus (Allemagne) assistée de Katrin Rafalski (Allemagne) et Sian Massey (Angleterre). 4e arbitre : Lorraine Clark (Ecosse)
Deventer (Stadion De Adelaarshorst)
Arbitres : Bibiana Steinhaus (Allemagne) assistée de Katrin Rafalski (Allemagne) et Sian Massey (Angleterre). 4e arbitre : Lorraine Clark (Ecosse)