Coincés entre l’énorme contingent de fans américains et celui plutôt fournis de supporters chiliens, les habitués de matches de la D1 féminine ont dû avoir une belle impression de déjà-vu, depuis les travées du Parc des Princes ce dimanche. Car ils ont pu (re)voir évoluer sur le sol tricolore 4 joueuses ayant déjà trimé dans le championnat national ces dernières saisons.
Pas vraiment le genre de statistiques que l’on s’attend à voir lorsqu’on part assister à un match entre les Etats-Unis et le Chili, dont seul un tout petit pourcentage évolue actuellement en Europe. Mieux, sur la feuille de match, elles étaient 7 à avoir déjà foulé les pelouses de l’élite française (Morgan et Rapinoe, deux anciennes Lyonnaises, sont restées sur le banc, tout comme Tobin Heath, Parisienne de 2012 à 2014). A défaut des trois superstars américaines, ils ont pu revoir Morgan Brian (OL, 2018), mais surtout Allie Long (PSG, 2011-2014) et Lindsey Horan (PSG, 2012-2016) fouler la pelouse habituellement réservée à un club qu’elles connaissent bien.
Pas vraiment le genre de statistiques que l’on s’attend à voir lorsqu’on part assister à un match entre les Etats-Unis et le Chili, dont seul un tout petit pourcentage évolue actuellement en Europe. Mieux, sur la feuille de match, elles étaient 7 à avoir déjà foulé les pelouses de l’élite française (Morgan et Rapinoe, deux anciennes Lyonnaises, sont restées sur le banc, tout comme Tobin Heath, Parisienne de 2012 à 2014). A défaut des trois superstars américaines, ils ont pu revoir Morgan Brian (OL, 2018), mais surtout Allie Long (PSG, 2011-2014) et Lindsey Horan (PSG, 2012-2016) fouler la pelouse habituellement réservée à un club qu’elles connaissent bien.
Sa « deuxième maison »
« Je n’avais jamais joué ici de tout mon temps à Paris, donc c’était incroyable, a raconté cette dernière en zone mixte après le coup de sifflet final. J’ai été très émue au moment où notre hymne a retenti, l’atmosphère était incroyable, plus de 45 000 personnes… De plus le terrain était immaculé, on ne pouvait pas mal jouer au foot dans de telles conditions. Je suis si contente d’être ici ». Un bel hommage de la joueuse qui a connu beaucoup de galères, mais lancé sa carrière dans la capitale tricolore. Et son talent s’est vu ce dimanche, où elle a encore délivré une excellente prestation.
Très souvent, ces Américaines qui ont traversé l’Atlantique, un acte pas si banal dans le foot féminin, ressortent marquées par leur expérience tricolore, à l’image d’Allie Long- dont c’était également la première sur la pelouse du Parc -qui a confessé après la rencontre : « Oui je suis les résultats, quand ils (le PSG) jouent, j’espèrent toujours qu’ils et elles vont gagner, j’ai toujours été une fan des équipes masculines et féminines». La milieu, qui a vécu à Paris pendant 3 ans (2011-2014), s’est aussi fait remarquée lors de la partie, obtenant un penalty (79e) non converti par Carli Lloyd, quelques minutes après son entrée en jeu (59e).
Mais la joueuse estampillée « D1 féminine » la plus en vue dans cette partie, c’est évidemment Christiane Endler, la portière chilienne qui a totalisé pas moins de 6 arrêts dans cette partie, et à glaner, à défaut de ses premiers points en coupe du monde, le trophée de meilleure joueuse du match : « Même si c’était mon premier match ici, c’est toujours incroyable d’être dans ce stade, un des plus beaux du monde. Je me sentais comme à la maison, c’était une expérience géniale », a-t-elle reconnu malgré le mauvais résultat. Aucun doute qu’au-delà de tout un pays, elle a aussi rendu fier son club, ses supporters à l’année, bref, l’ensemble de sa « deuxième maison », comme l’appelle encore aujourd’hui Lindsey Horan.
Très souvent, ces Américaines qui ont traversé l’Atlantique, un acte pas si banal dans le foot féminin, ressortent marquées par leur expérience tricolore, à l’image d’Allie Long- dont c’était également la première sur la pelouse du Parc -qui a confessé après la rencontre : « Oui je suis les résultats, quand ils (le PSG) jouent, j’espèrent toujours qu’ils et elles vont gagner, j’ai toujours été une fan des équipes masculines et féminines». La milieu, qui a vécu à Paris pendant 3 ans (2011-2014), s’est aussi fait remarquée lors de la partie, obtenant un penalty (79e) non converti par Carli Lloyd, quelques minutes après son entrée en jeu (59e).
Mais la joueuse estampillée « D1 féminine » la plus en vue dans cette partie, c’est évidemment Christiane Endler, la portière chilienne qui a totalisé pas moins de 6 arrêts dans cette partie, et à glaner, à défaut de ses premiers points en coupe du monde, le trophée de meilleure joueuse du match : « Même si c’était mon premier match ici, c’est toujours incroyable d’être dans ce stade, un des plus beaux du monde. Je me sentais comme à la maison, c’était une expérience géniale », a-t-elle reconnu malgré le mauvais résultat. Aucun doute qu’au-delà de tout un pays, elle a aussi rendu fier son club, ses supporters à l’année, bref, l’ensemble de sa « deuxième maison », comme l’appelle encore aujourd’hui Lindsey Horan.