Depuis le début de saison et dehors de l'absence de Luana, le PSG contrairement à l'OL, dispose d'un effectif au complet qui a été épargné par les pépins physiques. Si le bref épisode du COVID-19 en mars aurait pu avoir un effet néfaste, il n'a pas cassé la dynamique du collectif qui permet à l'équipe parisienne d'être aussi l'actuel du championnat.
Cette saison, la force du PSG est aussi en attaque. En dehors de la 2e journée de championnat à Bordeaux (0-0) où un but avait été injustement refusé, et ce quart de finale aller face à l'OL (0-1), les Parisiennes ont toujours fait trembler les filets adverses. De quoi faire de l'équipe parisienne, la même attaque du championnat national. Diani et Katoto qui avaient déjà affiché la saison dernière un potentiel ont vu leur partenaire Baltimore exploser, et ce trio qui avait brillé contre l'Angleterre avec la sélection, la aussi démontré face à l'OL.
Cette saison, la force du PSG est aussi en attaque. En dehors de la 2e journée de championnat à Bordeaux (0-0) où un but avait été injustement refusé, et ce quart de finale aller face à l'OL (0-1), les Parisiennes ont toujours fait trembler les filets adverses. De quoi faire de l'équipe parisienne, la même attaque du championnat national. Diani et Katoto qui avaient déjà affiché la saison dernière un potentiel ont vu leur partenaire Baltimore exploser, et ce trio qui avait brillé contre l'Angleterre avec la sélection, la aussi démontré face à l'OL.
Un trio d'attaque détonant
Katoto manquait d'abord le cadre, puis servie par une récupération de Paredes, elle était rattrapée par le tacle décisif de Buchanan. Sa partenaire Geyoro, auteure d'une remarquable prestation au milieu, ne manquait pas de conclure sur le premier tir cadré de son équipe (24e). Après les précédents échecs face à l'OL, la milieu de terrain parisienne louait la prestation aboutie de son équipe : "J'en avais un petit peu marre de perdre toujours avec le même scénario. On savait que l'on avait toutes les qualités. On a un bon groupe, notre force a été collective". Mais ce qui a aussi fait la différernce, ce sont les débordements incessants de Baltimore et Diani. Cette dernière sera d'ailleurs à l'origine du second but de son équipe (61e). Pourtant le PSG aurait pu repartir bredouilles après avoir manqué de faire le break. Olivier Echouafni en faisait écho après la rencontre : "Nous aurions pu inscrire un troisième but qu'on ne marque pas et Endler sauve l'équipe tout à la fin et sans son arrêt nous aurions été éliminés. Ce n'est peut-être qu'une étape".
Le scénario n'était pas écrit avant le coup d'envoi. Les Parisiennes savaient qu'il fallait inscrire deux buts pour se qualifier, un seul envoyait seulement en prolongation. "Ce n'était pas évident même si dans nos têtes, on avait cet objectif" expliquait la capitaine Irene Paredes, ajoutant "On savait que l'on pouvait le faire". Et lorsque le PSG sur une erreur défensive se faisait surprendre très rapidement, l'aspect mental s'est relevé important car l'équipe francilienne n'a pas paniqué. "On a mal débuté. Il était question que l'on fasse l'inverse. Elles ont montré leur progression sur le plan mental. Cette force de caractère qui leur manquait auparavant" relevait avec fierté Echouafni. Après l'égalisation, le PSG continua à effectuer un pressing, affichant une condition physique supérieure à des Lyonnaises sans solution.
Le scénario n'était pas écrit avant le coup d'envoi. Les Parisiennes savaient qu'il fallait inscrire deux buts pour se qualifier, un seul envoyait seulement en prolongation. "Ce n'était pas évident même si dans nos têtes, on avait cet objectif" expliquait la capitaine Irene Paredes, ajoutant "On savait que l'on pouvait le faire". Et lorsque le PSG sur une erreur défensive se faisait surprendre très rapidement, l'aspect mental s'est relevé important car l'équipe francilienne n'a pas paniqué. "On a mal débuté. Il était question que l'on fasse l'inverse. Elles ont montré leur progression sur le plan mental. Cette force de caractère qui leur manquait auparavant" relevait avec fierté Echouafni. Après l'égalisation, le PSG continua à effectuer un pressing, affichant une condition physique supérieure à des Lyonnaises sans solution.
Une égalisation qui a "boosté" les Parisiennes
"Les vieux démons ne sont pas revenus, bien au contraire, elles ont su prendre les choses en main. En première mi-temps, on a su concrétiser. Cela a donné un boost pas possible aux filles. Le scénario a été enclenché et c'est ce qui a permis de prendre confiance" justifiait Echouafni. Car malgré le départ durant dix jours de 17 joueuses en sélection nationale, le collectif parisien s'est montré bien huilé ."On a fait un gros match collectivement du début à la fin. On savait que l'on devait marquer deux buts. On a mis tous les ingrédients pour que l'on puisse être au top. On a un groupe fort, solide" s'enthousiasmait Geyoro. Le PSG a également pu compter sur sa gardienne. Quelques jours après une qualification aux JO avec le Chili, elle a réalisé l'arrêt du match à bout portant face à Malard (90+2e).
Mais il va falloir confirmer par la suite. Tout d'abord dès la semaine prochaine face au FC Barcelone, puis ensuite en championnat avec une série de matchs à enchaîner avant le choc face à l'OL fin mai où le club rhodanien aura une revanche à prendre pour tenter de conserver le championnat, à défaut de la Ligue des Champions. Echouafni reste d'ailleurs mesurer mais croit au potentiel de son groupe : "C'est qu'une étape sur la suite de ce groupe et de cette progression." Le palmarès parisien reste encore à étoffer et les deux mois à venir s'annoncent denses.
Mais il va falloir confirmer par la suite. Tout d'abord dès la semaine prochaine face au FC Barcelone, puis ensuite en championnat avec une série de matchs à enchaîner avant le choc face à l'OL fin mai où le club rhodanien aura une revanche à prendre pour tenter de conserver le championnat, à défaut de la Ligue des Champions. Echouafni reste d'ailleurs mesurer mais croit au potentiel de son groupe : "C'est qu'une étape sur la suite de ce groupe et de cette progression." Le palmarès parisien reste encore à étoffer et les deux mois à venir s'annoncent denses.