Ce match contre l'Allemagne, est-ce que cela vous replonge dans l'Euro ?
Corinne Diacre. L'Euro est derrière nous. On est maintenant focalisés sur la Coupe du Monde. On est qualifié depuis un moment et on est tourné vers cette compétition.
Wendie Renard. Oui cela rappelle ce match mais si on gagne demain, on n'ira pas en finale de l'Euro. On est désormais projeté sur ce qui arrive, c'est-à-dire la Coupe du Monde. C'est à nous de se servir de ce match et de corriger des choses pour être prêtes car ce sont toujours des nations qui sont dans le dernier carré.
Par quoi vous devez passer pour faire mieux ?
Wendie Renard. C'est un ensemble, c'est physique, c'est technique, c'est tactique. Ça se joue sur des détails et les détails sont importants. Il ne faut rien négliger. Au haut niveau, rien ne peut être laissé au hasard et tous les détails comptent.
Vous allez jouer de grosses nations pour préparer la Coupe du Monde ?
Corinne Diacre. Il ne faut manquer de respect à personne. Souvenez-vous de la Slovénie, souvenez-vous de l'Autriche, ce n'est pas forcément du top 10 mondial mais ce sont des nations qui évoluent bien, qui travaillent très bien, qui a été performante sur le dernier Euro. On jouera les nations que l'on devra jouer. La suite du programme n'est pas encore officielle, je m'abstiens.
Il y a des blessées de part et d'autre. Pouvez-vous vraiment se jauger ?
Corinne Diacre. Cela fait partie d'une sélection. C'est sélectionner les joueuses à l'instant T. On aura une équipe compétitive sur le terrain. Le groupe d'aujourd'hui ne sera pas celui de la Coupe du Monde, mais ça personne ne peut le prédire. Contre l'Allemagne, on va se préparer. A partir de ce match, on prépare déjà la Coupe du Monde puisque la préparation va être courte. Il nous reste huit mois pour nous préparer.
Il y aura un public nombreux (ndlr : plus de 25 000 spectateurs attendus), cela fait aussi partie de la préparation ?
Wendie Renard. Oui, on l'a vu à l'Euro. On s'entendait très peu sur le terrain. Jouer à l'extérieur nous permet encore mieux apprendre à nous connaître collectivement sur le terrain, de faire les efforts les unes pour les autres, de se préparer pour la Coupe du Monde où ce seront des terrains neutres et où il y aura forcément des fans des nations qualifiées.
Y-a-t'il des axes de travail principaux lors de cette préparation ?
Corinne Diacre. On appuie sur tout. Il faudra être efficace dans les deux surfaces, on l'a encore vu lors du dernier Euro. Plus on monte sur les compétitions, comme on l'a dit Wendie, plus cela se joue sur des détails. Il y en a certains sur lesquels on n'a pas d'emprise mais il y en a beaucoup sur lesquels on peut avoir de l'emprise et il faut que l'on travaille dessus.
Où situez-vous la France par rapport à l'Allemagne ?
Corinne Diacre. On ne se compare pas aujourd'hui. On ne regarde pas le passé même si l'Allemagne est beaucoup plus titré que l'Équipe de France. On se tourne l'avant, on a notre histoire à écrire et c'est que l'on veut faire avec ce groupe-là.
Est-ce comme Laurina Fazer ou Lindsey Thomas, d'autres joueuses comme Karchouni ou Lakrar pourraient intégrer le groupe à l'avenir ?
Corinne Diacre. La porte n'est fermée à personne. Vous pouvez m'en citer deux joueuses, quinze, dix ou vingt autres. Après je fais des choix par rapport au projet de jeu que l'on veut mettre en place. Pour Lindsey Thomas, ce sont ces performances qui m'ont convaincu de l'appeler. Toutes les joueuses qui évoluent à l'étranger, on les suit, on regarde ce qu'elles font. Il semblait intéressant au vue des défections de faire appel à Lindsey sur ce rassemblement-là.
Corinne Diacre. L'Euro est derrière nous. On est maintenant focalisés sur la Coupe du Monde. On est qualifié depuis un moment et on est tourné vers cette compétition.
Wendie Renard. Oui cela rappelle ce match mais si on gagne demain, on n'ira pas en finale de l'Euro. On est désormais projeté sur ce qui arrive, c'est-à-dire la Coupe du Monde. C'est à nous de se servir de ce match et de corriger des choses pour être prêtes car ce sont toujours des nations qui sont dans le dernier carré.
Par quoi vous devez passer pour faire mieux ?
Wendie Renard. C'est un ensemble, c'est physique, c'est technique, c'est tactique. Ça se joue sur des détails et les détails sont importants. Il ne faut rien négliger. Au haut niveau, rien ne peut être laissé au hasard et tous les détails comptent.
Vous allez jouer de grosses nations pour préparer la Coupe du Monde ?
Corinne Diacre. Il ne faut manquer de respect à personne. Souvenez-vous de la Slovénie, souvenez-vous de l'Autriche, ce n'est pas forcément du top 10 mondial mais ce sont des nations qui évoluent bien, qui travaillent très bien, qui a été performante sur le dernier Euro. On jouera les nations que l'on devra jouer. La suite du programme n'est pas encore officielle, je m'abstiens.
Il y a des blessées de part et d'autre. Pouvez-vous vraiment se jauger ?
Corinne Diacre. Cela fait partie d'une sélection. C'est sélectionner les joueuses à l'instant T. On aura une équipe compétitive sur le terrain. Le groupe d'aujourd'hui ne sera pas celui de la Coupe du Monde, mais ça personne ne peut le prédire. Contre l'Allemagne, on va se préparer. A partir de ce match, on prépare déjà la Coupe du Monde puisque la préparation va être courte. Il nous reste huit mois pour nous préparer.
Il y aura un public nombreux (ndlr : plus de 25 000 spectateurs attendus), cela fait aussi partie de la préparation ?
Wendie Renard. Oui, on l'a vu à l'Euro. On s'entendait très peu sur le terrain. Jouer à l'extérieur nous permet encore mieux apprendre à nous connaître collectivement sur le terrain, de faire les efforts les unes pour les autres, de se préparer pour la Coupe du Monde où ce seront des terrains neutres et où il y aura forcément des fans des nations qualifiées.
Y-a-t'il des axes de travail principaux lors de cette préparation ?
Corinne Diacre. On appuie sur tout. Il faudra être efficace dans les deux surfaces, on l'a encore vu lors du dernier Euro. Plus on monte sur les compétitions, comme on l'a dit Wendie, plus cela se joue sur des détails. Il y en a certains sur lesquels on n'a pas d'emprise mais il y en a beaucoup sur lesquels on peut avoir de l'emprise et il faut que l'on travaille dessus.
Où situez-vous la France par rapport à l'Allemagne ?
Corinne Diacre. On ne se compare pas aujourd'hui. On ne regarde pas le passé même si l'Allemagne est beaucoup plus titré que l'Équipe de France. On se tourne l'avant, on a notre histoire à écrire et c'est que l'on veut faire avec ce groupe-là.
Est-ce comme Laurina Fazer ou Lindsey Thomas, d'autres joueuses comme Karchouni ou Lakrar pourraient intégrer le groupe à l'avenir ?
Corinne Diacre. La porte n'est fermée à personne. Vous pouvez m'en citer deux joueuses, quinze, dix ou vingt autres. Après je fais des choix par rapport au projet de jeu que l'on veut mettre en place. Pour Lindsey Thomas, ce sont ces performances qui m'ont convaincu de l'appeler. Toutes les joueuses qui évoluent à l'étranger, on les suit, on regarde ce qu'elles font. Il semblait intéressant au vue des défections de faire appel à Lindsey sur ce rassemblement-là.