Il ne sera certainement pas question de mettre tout le monde au repos en vue de cette dernière rencontre du groupe D entre l'Équipe de France, assurée de sa première place et l'Islande qui espère bien prendre la seconde.
Un adversaire que les Bleues connaissent bien et qui leur a donné du fil à retordre il y a cinq ans. Il faut en effet s'accrocher face au jeu engagé des Islandaises qui devront tout donner pour ne pas laisser échapper une qualification en quart de finale comme en 2013.
Le onze de départ ne sera connu que deux heures avant la rencontre, Corinne Diacre n'ayant dévoilé comme à chaque rencontre. "Je n'ai pas forcément de titulaires ou de remplaçantes. Toutes les joueuses peuvent démarrer. L'idée quel que soit le onze que l'on aligne, c'est de gagner" a rappelé l'ancienne internationale tricolore.
Un adversaire que les Bleues connaissent bien et qui leur a donné du fil à retordre il y a cinq ans. Il faut en effet s'accrocher face au jeu engagé des Islandaises qui devront tout donner pour ne pas laisser échapper une qualification en quart de finale comme en 2013.
Le onze de départ ne sera connu que deux heures avant la rencontre, Corinne Diacre n'ayant dévoilé comme à chaque rencontre. "Je n'ai pas forcément de titulaires ou de remplaçantes. Toutes les joueuses peuvent démarrer. L'idée quel que soit le onze que l'on aligne, c'est de gagner" a rappelé l'ancienne internationale tricolore.
Ne pas tout bousculer pour garder le rythme
C'est la victoire que la France ira chercher mais il va aussi falloir gérer l'état physique des joueuses avant d'entamer les matchs à élimination directe. Les Bleues joueront leur rencontre vendredi prochain face aux Pays-Bas. Il ne faut pas s'attendre à un changement intégral du onze mais c'est peut-être dans la gestion des remplacements que Corinne Diacre pourra faire souffler, d'autant que désormais cinq remplacements sont possibles ce qui change la gestion par rapport aux précédentes phases finales.
Ce qui fait l'objet de tous les questionnements depuis le match face à la Belgique, c'est la joueuse qui prendra part à la pointe de l'attaque des Bleues. Une certitude, le système de jeu ne changera pas avec un 4-3-3. Katoto out, Sarr qui n'avait pas pris part à l'avant-dernier entraînement, était présente ce dimanche. C'est la joueuse qui serait à son poste de prédilection en débutant la rencontre, même si d'autres peuvent y évoluer comme Diani, ou encore Malard. C'est dans ce choix que résidera aussi la suite de la compétition. Ce test permettra de voir les alternatives à l'absence de Katoto pour essayer d'aller remplir l'objectif.
Ce qui fait l'objet de tous les questionnements depuis le match face à la Belgique, c'est la joueuse qui prendra part à la pointe de l'attaque des Bleues. Une certitude, le système de jeu ne changera pas avec un 4-3-3. Katoto out, Sarr qui n'avait pas pris part à l'avant-dernier entraînement, était présente ce dimanche. C'est la joueuse qui serait à son poste de prédilection en débutant la rencontre, même si d'autres peuvent y évoluer comme Diani, ou encore Malard. C'est dans ce choix que résidera aussi la suite de la compétition. Ce test permettra de voir les alternatives à l'absence de Katoto pour essayer d'aller remplir l'objectif.