Le 24 février dernier, la capitaine des Bleues Wendie Renard était la première à faire part ne pouvoir cautionner le système actuel de la sélection nationale. Kadidiatou Diani et Marie-Antoinette Katoto avaient emboîté le pas, mettant la FFF devant une situation inédite.
Le Comité exécutif, réuni le 28 février, s'était saisi de la question rappelant qu’aucune individualité n’est au-dessus de l’institution Équipe de France. Au terme de cette réunion, la FFF indiquait par la voie de son Président par intérim Philippe Diallo qu'une commission composée de quatre membres du COMEX, Laura Georges, Aline Rieira, Jean-Michel Aulas et Marc Keller, était missionnée pour dresser un constat de la situation actuelle et établir une liste de recommandations et de décisions à prendre très rapidement afin de rétablir une situation propice à la performance de l’Équipe de France.
Le Comité exécutif, réuni le 28 février, s'était saisi de la question rappelant qu’aucune individualité n’est au-dessus de l’institution Équipe de France. Au terme de cette réunion, la FFF indiquait par la voie de son Président par intérim Philippe Diallo qu'une commission composée de quatre membres du COMEX, Laura Georges, Aline Rieira, Jean-Michel Aulas et Marc Keller, était missionnée pour dresser un constat de la situation actuelle et établir une liste de recommandations et de décisions à prendre très rapidement afin de rétablir une situation propice à la performance de l’Équipe de France.
Diacre dénonce une opération de déstabilisation
Pendant que des Bleues qui s'étaient manifestées ont obtenu d'autres soutiens en France mais aussi étrangères comme Megan Rapinoe, le sujet d'un staff restreint ne pouvait être en adéquation avec les exigences du haut niveau et des ambitions de la sélection nationale de gagner des titres. Dimanche dernier, Kadi Diani exprimait qu'elle ne reviendrait en équipe de France qu’à une seule condition : que Corinne Diacre s'en aille.
Si plusieurs noms de successeurs ont circulé comme Gérard Prêcheur, Patrice Lair, Sandrine Soubeyrand ou Sonia Bompastor, tous issus des bancs de clubs actuellement en D1, ce mardi, RMC Sport a indiqué celui d'Hervé Renard, actuel sélectionneur de l'Arabie Saoudite. Corinne Diacre qui ne s'était pas exprimée jusqu'à présent a rapporté à l'AFP ce mercredi être "pleinement déterminée à mener (sa) mission" au Mondial 2023 avec l'équipe de France en dépit d'une "opération de déstabilisation".
"Au regard du déchainement médiatique honteux de ces derniers jours, je souhaite néanmoins réaffirmer publiquement (...) que je suis pleinement déterminée à mener ma mission à bien et, surtout, à faire honneur à la France lors de la prochaine Coupe du monde" alors que le COMEX de ce jeudi 9 mars va devoir prendre des décisions.
"Je ne me laisserai pas atteindre par cette opération de déstabilisation, qui ne prend pas en compte mon bilan sportif, et qui a pour seul objectif un règlement de compte personnel" a confié avec fermeté à la sélectionneuse qui a affirmé avoir "décidé de ne pas y répondre" dans un premier temps, au nom de "l'intérêt de l'équipe nationale" et dit avoir "enduré, non sans ressentir une grande souffrance, l'étalage des calomnies, des contrevérités et des ambitions des uns et des autres".
Dans quatre mois et demi débutera la Coupe du Monde et dans un mois la France aura deux rencontres de préparation a joué face à la Colombie et le Canada. Quelle que soit l'issue, les Bleues vont devoir retrouver le terrain et se concentrer sur l'objectif sportif ce qui ne sera pas chose aisée.
Si plusieurs noms de successeurs ont circulé comme Gérard Prêcheur, Patrice Lair, Sandrine Soubeyrand ou Sonia Bompastor, tous issus des bancs de clubs actuellement en D1, ce mardi, RMC Sport a indiqué celui d'Hervé Renard, actuel sélectionneur de l'Arabie Saoudite. Corinne Diacre qui ne s'était pas exprimée jusqu'à présent a rapporté à l'AFP ce mercredi être "pleinement déterminée à mener (sa) mission" au Mondial 2023 avec l'équipe de France en dépit d'une "opération de déstabilisation".
"Au regard du déchainement médiatique honteux de ces derniers jours, je souhaite néanmoins réaffirmer publiquement (...) que je suis pleinement déterminée à mener ma mission à bien et, surtout, à faire honneur à la France lors de la prochaine Coupe du monde" alors que le COMEX de ce jeudi 9 mars va devoir prendre des décisions.
"Je ne me laisserai pas atteindre par cette opération de déstabilisation, qui ne prend pas en compte mon bilan sportif, et qui a pour seul objectif un règlement de compte personnel" a confié avec fermeté à la sélectionneuse qui a affirmé avoir "décidé de ne pas y répondre" dans un premier temps, au nom de "l'intérêt de l'équipe nationale" et dit avoir "enduré, non sans ressentir une grande souffrance, l'étalage des calomnies, des contrevérités et des ambitions des uns et des autres".
Dans quatre mois et demi débutera la Coupe du Monde et dans un mois la France aura deux rencontres de préparation a joué face à la Colombie et le Canada. Quelle que soit l'issue, les Bleues vont devoir retrouver le terrain et se concentrer sur l'objectif sportif ce qui ne sera pas chose aisée.