Devant Wendie Renard a tenté, derrière elle a rassuré (photo E Baledent/LMP)
Wendie, que ressentez-vous après cette qualification ?
Il y a beaucoup de satisfaction, on a eu la maîtrise du début à la fin. C'est juste dommage qu'on ne rentre pas à la mi-temps avec un ou deux buts de plus parce qu'on a les occasions pour tuer le match et être un peu plus tranquilles. Après, dans l'ensemble, on a géré et Tatane a mis le deuxième, donc c'est cool !
Aujourd'hui, on a l'impression que la qualification est dans la logique des choses. Qu'est-ce qui a changé par rapport à 2010 par exemple ?
Cela fait quatre ans de plus donc il y a la maturité en plus, l'expérience. A force de faire des matches on fait des erreurs et on apprend de ces erreurs. Le groupe est arrivé à une certaine maturité et prend conscience des qualités que nous avons. C'est indispensable pour croire en nos chances. Encore une fois même si on fait du beau jeu, le palmarès est vierge et il faut vite effacer ça. On a une année pour bien travailler et peaufiner les automatismes avant cette Coupe du monde.
Il y a beaucoup de satisfaction, on a eu la maîtrise du début à la fin. C'est juste dommage qu'on ne rentre pas à la mi-temps avec un ou deux buts de plus parce qu'on a les occasions pour tuer le match et être un peu plus tranquilles. Après, dans l'ensemble, on a géré et Tatane a mis le deuxième, donc c'est cool !
Aujourd'hui, on a l'impression que la qualification est dans la logique des choses. Qu'est-ce qui a changé par rapport à 2010 par exemple ?
Cela fait quatre ans de plus donc il y a la maturité en plus, l'expérience. A force de faire des matches on fait des erreurs et on apprend de ces erreurs. Le groupe est arrivé à une certaine maturité et prend conscience des qualités que nous avons. C'est indispensable pour croire en nos chances. Encore une fois même si on fait du beau jeu, le palmarès est vierge et il faut vite effacer ça. On a une année pour bien travailler et peaufiner les automatismes avant cette Coupe du monde.
"Vraiment contente pour tout le monde"
La joie collective était très contenue au coup de sifflet final.
C'était un peu mitigé c'est vrai mais il y avait aussi de la fatigue à cause du synthétique. Personnellement, je commençais à avoir mal au dos. Ce n'était pas facile mais, dans le vestiaire, il y avait de la musique. Et puis avec le staff et toutes les joueuses qu'elles soient en tribunes ou sur le banc, on a pu partager quelques moments ensemble et ça, c'est bien. Je suis vraiment contente pour tout le monde.
Il reste encore un match de qualification ce mercredi à Calais (18h00). Comment l'aborderez-vous ?
C'est important de le gagner. Il faut prendre cette habitude-là et devenir des "machines à gagner". Si un jour, on veut espérer gagner une Coupe du monde, un titre majeur ça passe par ce genre de rencontres qu'il ne faut pas négliger. On va la prendre très au sérieux devant notre public. On veut aussi prendre du plaisir et en donner au public, continuer à faire du jeu. A se régaler.
T.S.
C'était un peu mitigé c'est vrai mais il y avait aussi de la fatigue à cause du synthétique. Personnellement, je commençais à avoir mal au dos. Ce n'était pas facile mais, dans le vestiaire, il y avait de la musique. Et puis avec le staff et toutes les joueuses qu'elles soient en tribunes ou sur le banc, on a pu partager quelques moments ensemble et ça, c'est bien. Je suis vraiment contente pour tout le monde.
Il reste encore un match de qualification ce mercredi à Calais (18h00). Comment l'aborderez-vous ?
C'est important de le gagner. Il faut prendre cette habitude-là et devenir des "machines à gagner". Si un jour, on veut espérer gagner une Coupe du monde, un titre majeur ça passe par ce genre de rencontres qu'il ne faut pas négliger. On va la prendre très au sérieux devant notre public. On veut aussi prendre du plaisir et en donner au public, continuer à faire du jeu. A se régaler.
T.S.
