Votre équipe a vécu un match difficile face à l’équipe de France. Comment l’expliquez-vous ?
On a rencontré des difficultés dans l’attaque et dans la construction. On n’était pas bien en place en première période. On n’a pas assez gêné l’adversaire, on n’avait pas assez de solutions. L’espace était présent pourtant, on l’avait vu sur les matches de la France face à la Finlande et au Brésil. Il y avait de l’espace dans leur défense, je voulais qu’on en profite. Il y a eu aussi un manque de qualité balle au pied. On a été battus dans la possession et les duels. C’est avant tout de ma faute, dans la préparation de mon équipe.
On n’était pas au top au niveau physique et mental sur ce match, notamment en première période. Cela s’est amélioré dans le premier quart d’heure de la seconde, on a créé de meilleures situations en attaque avec un meilleur positionnement et une plus grande précision dans les passes. On a réussi à marquer sur coup de pied arrêté sur ce temps fort. Derrière, Caitlin (Dijkstra) a dû sortir à un moment clé ensuite alors qu’elle était importante dans la construction. Les fois où l’on a attaqué en première période venait d’elle et elle a eu des bonnes phases en seconde.
La structure et la qualité étaient clés donc, l’espace était là. Mais on n’a pas su en profiter, ce qui est décevant car c’est un très bon adversaire et il y avait des opportunités. On les a vu mais on n’a pas été assez bons pour les saisir.
Est-ce que la différence entre les deux équipes en première période vous inquiète ?
Non, si on avait exécuté le plan correctement, qu’on avait fait ce qu’il fallait avec tout le monde à son meilleur niveau et qu’on était rentrés à la pause menés 0-2, il y aurait de quoi être inquiet. Mais la qualité n’était pas là sur ce match et tout n’a pas été bien réalisé. On est arrivé sur cette rencontre avec de mauvaises nouvelles également, avec certaines joueuses un peu justes à l’échauffement. Aniek Nouwen a pu tenir 45 minutes, Caitlin Dijkstra et Merel Van Dongen ont aussi fini par ressentir des douleurs. Cela fait trois changements dans la défense face à une top équipe. Malheureusement, l’écart a fini par être trop grand en première période car on n’a pas su saisir les opportunités, on n’était pas à notre meilleur niveau.
Je pense qu’on va sortir avec plus de confiance à l’avenir, par le fait qu’on ait dû souvent s’adapter et s’ajuster face à des gros adversaires durant cette semaine. Mais on peut être déçus de ne pas avoir profité de certaines opportunités. On était proches, on aurait dû inscrire le premier but de la partie, on aurait pu en marquer deux en seconde période.
La France a eu 7 occasions de marquer à la suite de nos transitions manquées. Une de ces 7 était un bon pressing haut de leur part, les 6 autres étaient une erreur de notre part, et elle n’a eu qu’une seule situation en attaque placée. Le Brésil n’a eu qu’une occasion de la tête face à nous, la France n’en a eu qu’une en attaque placée. C’est un secteur où nous voulons nous améliorer. Mais perdre la balle dans une mauvaise zone face à la France, ça coûte cher. Respect d’ailleurs pour cette équipe et sa qualité, que l’on a trop souvent servie par nos pertes de balles.
On a rencontré des difficultés dans l’attaque et dans la construction. On n’était pas bien en place en première période. On n’a pas assez gêné l’adversaire, on n’avait pas assez de solutions. L’espace était présent pourtant, on l’avait vu sur les matches de la France face à la Finlande et au Brésil. Il y avait de l’espace dans leur défense, je voulais qu’on en profite. Il y a eu aussi un manque de qualité balle au pied. On a été battus dans la possession et les duels. C’est avant tout de ma faute, dans la préparation de mon équipe.
On n’était pas au top au niveau physique et mental sur ce match, notamment en première période. Cela s’est amélioré dans le premier quart d’heure de la seconde, on a créé de meilleures situations en attaque avec un meilleur positionnement et une plus grande précision dans les passes. On a réussi à marquer sur coup de pied arrêté sur ce temps fort. Derrière, Caitlin (Dijkstra) a dû sortir à un moment clé ensuite alors qu’elle était importante dans la construction. Les fois où l’on a attaqué en première période venait d’elle et elle a eu des bonnes phases en seconde.
La structure et la qualité étaient clés donc, l’espace était là. Mais on n’a pas su en profiter, ce qui est décevant car c’est un très bon adversaire et il y avait des opportunités. On les a vu mais on n’a pas été assez bons pour les saisir.
Est-ce que la différence entre les deux équipes en première période vous inquiète ?
Non, si on avait exécuté le plan correctement, qu’on avait fait ce qu’il fallait avec tout le monde à son meilleur niveau et qu’on était rentrés à la pause menés 0-2, il y aurait de quoi être inquiet. Mais la qualité n’était pas là sur ce match et tout n’a pas été bien réalisé. On est arrivé sur cette rencontre avec de mauvaises nouvelles également, avec certaines joueuses un peu justes à l’échauffement. Aniek Nouwen a pu tenir 45 minutes, Caitlin Dijkstra et Merel Van Dongen ont aussi fini par ressentir des douleurs. Cela fait trois changements dans la défense face à une top équipe. Malheureusement, l’écart a fini par être trop grand en première période car on n’a pas su saisir les opportunités, on n’était pas à notre meilleur niveau.
Je pense qu’on va sortir avec plus de confiance à l’avenir, par le fait qu’on ait dû souvent s’adapter et s’ajuster face à des gros adversaires durant cette semaine. Mais on peut être déçus de ne pas avoir profité de certaines opportunités. On était proches, on aurait dû inscrire le premier but de la partie, on aurait pu en marquer deux en seconde période.
La France a eu 7 occasions de marquer à la suite de nos transitions manquées. Une de ces 7 était un bon pressing haut de leur part, les 6 autres étaient une erreur de notre part, et elle n’a eu qu’une seule situation en attaque placée. Le Brésil n’a eu qu’une occasion de la tête face à nous, la France n’en a eu qu’une en attaque placée. C’est un secteur où nous voulons nous améliorer. Mais perdre la balle dans une mauvaise zone face à la France, ça coûte cher. Respect d’ailleurs pour cette équipe et sa qualité, que l’on a trop souvent servie par nos pertes de balles.