Les Françaises ont impérativement besoin d'une victoire face à la Suède
Les Bleuettes ont éprouvé beaucoup de difficultés pour faire déjouer la formation polonaise : "On s'attendait à ce qu'elles jouent plus. Il nous fallait jouer vers l'avant. Elles procédaient par contre, et coups de pied arrêtés. Elles nous attendaient et ont joué les coups à fond", si bien que sur deux coups de pied arrêtés la France a cédé et accusait deux buts de retard lundi soir à la pause.
Un scénario défavorable malgré le soutien de plus de 1 000 spectateurs à Sarlat-la-Canéda. Une surprise qui a amené à une réorganisation à la pause, mais surtout qui a permis aux Françaises de ne plus se poser de questions : "Le contexte du match et le fait que l'on n'arrive pas à marquer, cela nous a frustré. On s'est fait surprendre. En seconde mi-temps, il fallait tout donner, on n'avait plus rien à perdre. On s'est toujours dit que c'était possible, nous aussi on pouvait en mettre deux. On a essayé de pousser toute la seconde mi-temps. On s'est projeté vers l'avant, on a essayé de changer de côté plus vite pour séparer le bloc adverse qui était beaucoup regroupé. Après le premier but, elles ont paniqué". Et coup sur coup, aux 87e et 89e minutes, Sarr et Diani ont remis la sélection à flot (2-2).
Un scénario défavorable malgré le soutien de plus de 1 000 spectateurs à Sarlat-la-Canéda. Une surprise qui a amené à une réorganisation à la pause, mais surtout qui a permis aux Françaises de ne plus se poser de questions : "Le contexte du match et le fait que l'on n'arrive pas à marquer, cela nous a frustré. On s'est fait surprendre. En seconde mi-temps, il fallait tout donner, on n'avait plus rien à perdre. On s'est toujours dit que c'était possible, nous aussi on pouvait en mettre deux. On a essayé de pousser toute la seconde mi-temps. On s'est projeté vers l'avant, on a essayé de changer de côté plus vite pour séparer le bloc adverse qui était beaucoup regroupé. Après le premier but, elles ont paniqué". Et coup sur coup, aux 87e et 89e minutes, Sarr et Diani ont remis la sélection à flot (2-2).
"On doit tout faire plus vite"
La France aura même pu l'emporter pour se donner un peu plus d'air avec ce jeudi contre la Suède. Car aujourd'hui seule la victoire permettrait de se qualifier, mais la tâche ne sera pas facile face à une équipe qui a gagné ses deux premiers matchs (2-1 contre la Pologne, 1-0 contre la Roumanie) et qui est donc maître de son destin : "Il faudra élever notre niveau de jeu face à une formation qui joue pour que l'on puisse se qualifier" insiste Margaux Bueno.
La Guingampaise est arrivée cette année en Bretagne. Après s'être fait une place en D1, c'est désormais en sélection qu'elle est en train de s'installer : "Les gens sont super gentils, on arrive facilement à s'intégrer. En sélection, le jeu est plus rapide qu'en D1, on doit tout faire plus vite pour ne pas faire d'erreurs;" compare la joueuse. Avec les Bleuettes où elle ne s'attendait pas forcément à trouver sa place, Margaux Bueno n'espère qu'une chose : la victoire.
Mais la Suède n'a pas dit son dernier mot dans ce rendez-vous : "Nous sommes prêts pour le match de demain (ndlr : aujourd'hui), annonce le coach suédois. Mis à part une joueuse qui s’est gravement blessée face à la Roumanie, l’ensemble de l’équipe est opérationnelle. C’est un grand challenge qui nous attend puisque la France est la grande favorite. Nous sommes très confiants. Nous savons que nous pouvons le faire si nous faisons le nécessaire ! Nous voulons vraiment nous rendre chez nos voisins norvégiens pour le Championnat d’Europe".
>> Voir les stats de Margaux Bueno
La Guingampaise est arrivée cette année en Bretagne. Après s'être fait une place en D1, c'est désormais en sélection qu'elle est en train de s'installer : "Les gens sont super gentils, on arrive facilement à s'intégrer. En sélection, le jeu est plus rapide qu'en D1, on doit tout faire plus vite pour ne pas faire d'erreurs;" compare la joueuse. Avec les Bleuettes où elle ne s'attendait pas forcément à trouver sa place, Margaux Bueno n'espère qu'une chose : la victoire.
Mais la Suède n'a pas dit son dernier mot dans ce rendez-vous : "Nous sommes prêts pour le match de demain (ndlr : aujourd'hui), annonce le coach suédois. Mis à part une joueuse qui s’est gravement blessée face à la Roumanie, l’ensemble de l’équipe est opérationnelle. C’est un grand challenge qui nous attend puisque la France est la grande favorite. Nous sommes très confiants. Nous savons que nous pouvons le faire si nous faisons le nécessaire ! Nous voulons vraiment nous rendre chez nos voisins norvégiens pour le Championnat d’Europe".
>> Voir les stats de Margaux Bueno
Championnat d'Europe U19 - Tour Elite - Groupe 3 - Troisième journée
Jeudi 10 avril 2014 - 18h30
FRANCE - SUEDE
Trélissac (Stade Firmin Daudou)
Arbitres : Ana Minić (SER) assistée de Jasmina Zafirović (SER) et Cindy Zeferino De Oliveira (AUT). 4e arbitre : Barbara Bollenberg (AUT)
L'autre match
Roumanie - Pologne : 18h30, à Bergerac (Stade Municipal de Camp Réal)
Classement
1. Suède, 6 pts (3-1)
2. France, 4 pts (7-3)
3. Pologne, 1 pt (3-4)
4. Roumanie, 0 pt (1-6)
Jeudi 10 avril 2014 - 18h30
FRANCE - SUEDE
Trélissac (Stade Firmin Daudou)
Arbitres : Ana Minić (SER) assistée de Jasmina Zafirović (SER) et Cindy Zeferino De Oliveira (AUT). 4e arbitre : Barbara Bollenberg (AUT)
L'autre match
Roumanie - Pologne : 18h30, à Bergerac (Stade Municipal de Camp Réal)
Classement
1. Suède, 6 pts (3-1)
2. France, 4 pts (7-3)
3. Pologne, 1 pt (3-4)
4. Roumanie, 0 pt (1-6)