Les tops
Sarah Bouhaddi : Alors que son équipe était aux abonnés absents en première période, la portière de l’OL a fait parler son expérience pour maintenir son équipe en vie. Tout d’abord devant Katoto parfaitement lancée en profondeur (12e) puis sur les frappes de Diani (22e) ou encore Bachmann (33e). Et ce sans compter ses bonnes sorties hors de sa ligne. Si les Lyonnaises sont rentrées aux vestiaires à la pause avec un score nul et vierge, c’est en grande partie grâce à elle.
Kadidiatou Diani : On attendait beaucoup de son entente avec Katoto qui avait déjà fait mal à Lyon en novembre dernier. L’ailière a confirmé une nouvelle fois son statut de top joueuse sur ce match. Particulièrement remuante sur son côté, mettant Karchaoui en grande difficulté, elle a obtenu la première situation de la rencontre (1e) avant d’offrir à Katoto deux grosses occasions sur un plateau (12e, 39e) en plus d’une frappe puissante (22e). Sa sortie suite à des crampes à 20 minutes du terme a éteint les dernières velléités offensives du PSG, en plus de nourrir les doutes quant à sa présence au match retour.
Damaris Egurrola : Elle n’aura pas été la joueuse la plus en vue sur la dernière demi-heure qu’elle a disputé. Mais son entrée a marqué un tournant dans la rencontre pour l’OL. Solide dans ses interventions et intéressante dans ses ouvertures, elle a surtout libéré Henry et Majri en venant se positionner en pointe basse du milieu en losange lyonnais. Ses coéquipières ont alors pu se montrer plus offensives dans les demi-espaces. Un rééquilibre du milieu qui, conjugué à une baisse de forme du PSG, a permis à l’OL d’avoir l’ascendant jusqu’au bout.
Kadidiatou Diani : On attendait beaucoup de son entente avec Katoto qui avait déjà fait mal à Lyon en novembre dernier. L’ailière a confirmé une nouvelle fois son statut de top joueuse sur ce match. Particulièrement remuante sur son côté, mettant Karchaoui en grande difficulté, elle a obtenu la première situation de la rencontre (1e) avant d’offrir à Katoto deux grosses occasions sur un plateau (12e, 39e) en plus d’une frappe puissante (22e). Sa sortie suite à des crampes à 20 minutes du terme a éteint les dernières velléités offensives du PSG, en plus de nourrir les doutes quant à sa présence au match retour.
Damaris Egurrola : Elle n’aura pas été la joueuse la plus en vue sur la dernière demi-heure qu’elle a disputé. Mais son entrée a marqué un tournant dans la rencontre pour l’OL. Solide dans ses interventions et intéressante dans ses ouvertures, elle a surtout libéré Henry et Majri en venant se positionner en pointe basse du milieu en losange lyonnais. Ses coéquipières ont alors pu se montrer plus offensives dans les demi-espaces. Un rééquilibre du milieu qui, conjugué à une baisse de forme du PSG, a permis à l’OL d’avoir l’ascendant jusqu’au bout.
Les flops
Saki Kumagai : Si Lyon a été grandement dépassé dans le premier acte, la milieu japonaise en aura été tout le symbole. D’habitude dans le tempo, elle a été débordée de toute part. Pertes de balles multiples et imprécisions en pagaille dans ses transmissions face au pressing parisien. Pas aidé également par ses coéquipières au milieu, elle a été submergée jusqu’à sa sortie à l’heure de jeu.
Sakina Karchaoui : Elle a aussi vécu un calvaire de bout en bout. Déjà bridée dans ses montées par la présence fréquente sur son côté de Majri et Cascarino, l’arrière gauche n’a jamais réussi à tenir Diani durant la rencontre, la laissant par exemple centrer dans le premier acte (39e). Son imprécision dans les relances s’est également ressentie et la sortie de l’attaquante parisienne n’aura pas tout arrangé, Katoto continuant de la bousculer dans son couloir en seconde période.
Amel Majri : La Lyonnaise, malgré ses efforts et sa bonne volonté, a frisé la correctionnelle dans cette rencontre. Sanctionnée logiquement d’un carton jaune pour sa faute sur Formiga (7e), elle a ensuite été à la limite sur ses interventions, allant jusqu’à recevoir un dernier avertissement verbal quelques minutes plus tard. Un excès d’engagement qui n’a pas servi sa prestation, déjà ternie par des mauvais choix sur certaines situations de l’OL.
Sakina Karchaoui : Elle a aussi vécu un calvaire de bout en bout. Déjà bridée dans ses montées par la présence fréquente sur son côté de Majri et Cascarino, l’arrière gauche n’a jamais réussi à tenir Diani durant la rencontre, la laissant par exemple centrer dans le premier acte (39e). Son imprécision dans les relances s’est également ressentie et la sortie de l’attaquante parisienne n’aura pas tout arrangé, Katoto continuant de la bousculer dans son couloir en seconde période.
Amel Majri : La Lyonnaise, malgré ses efforts et sa bonne volonté, a frisé la correctionnelle dans cette rencontre. Sanctionnée logiquement d’un carton jaune pour sa faute sur Formiga (7e), elle a ensuite été à la limite sur ses interventions, allant jusqu’à recevoir un dernier avertissement verbal quelques minutes plus tard. Un excès d’engagement qui n’a pas servi sa prestation, déjà ternie par des mauvais choix sur certaines situations de l’OL.