(photo Paris FC)
Quelle analyse faites-vous de cette victoire folle ?
Je ne sais pas s'il y a besoin d'analyser. C'était un match serré, tendu, c'était une finale, fermée en première mi-temps même si on a eu un ou deux opportunités. Dans l'ensemble, on fait une très grosse première mi-temps. En deuxième, on débute bien, on est récompensée. Après, on a marqué deux buts, on ne s'est pas déconcentrée mais on a laissé un peu plus le ballon et on a reculé. On a fait une erreur qui les relance. Après c'est devenu un peu fou, il n'y a plus trop de maîtrise, un peu moins de contrôle mais on est resté dans le projet que l'on s'était fixé au départ. On savait que ce serait des très grandes joueuses en face. Sur un centre, elles égalisent, c'était un peu dur. On a joué ensuite au mental, on a bien utilisé le ballon. On a fait mal quand on avait la balle. Et puis on marque un troisième but mais on se fait encore rejoindre. Encore une petite erreur d'inattention, de jeunesse. C'est des détails mais la fin est très belle. S'il fallait en penser par là pour gagner, ça me va. Cela n'est pas confortable pour nous, c'est vrai que cela est stressant. On ne peut pas faire beaucoup plus comme suspense, c'est top.
Vous aviez une séance de tirs au but la veille du match qui n'avait été extraordinaire...
On s'est entraîné depuis quelques temps. On s'est entraîné même régulièrement puisque l'année passée, on avait été éliminé aux penalties alors que c'est quelque chose que l'on avait travaillé, mais on ne s'était pas trop projeté. Cette année, on s'est servi de la saison passée, et c'est vrai que depuis une dizaine d'entraînements, on a dû faire cinq ou six séances de tirs au but. A un moment, on est récompensé, c'est top. L'entraînement, cela reste l'entraînement. Après quand c'est le match, il faut les marquer. Il n'y a pas de vérité, hier il y en avait pas mal qui avaient loupé mais aujourd'hui, elles ont fait 4 sur 5.
Je ne sais pas s'il y a besoin d'analyser. C'était un match serré, tendu, c'était une finale, fermée en première mi-temps même si on a eu un ou deux opportunités. Dans l'ensemble, on fait une très grosse première mi-temps. En deuxième, on débute bien, on est récompensée. Après, on a marqué deux buts, on ne s'est pas déconcentrée mais on a laissé un peu plus le ballon et on a reculé. On a fait une erreur qui les relance. Après c'est devenu un peu fou, il n'y a plus trop de maîtrise, un peu moins de contrôle mais on est resté dans le projet que l'on s'était fixé au départ. On savait que ce serait des très grandes joueuses en face. Sur un centre, elles égalisent, c'était un peu dur. On a joué ensuite au mental, on a bien utilisé le ballon. On a fait mal quand on avait la balle. Et puis on marque un troisième but mais on se fait encore rejoindre. Encore une petite erreur d'inattention, de jeunesse. C'est des détails mais la fin est très belle. S'il fallait en penser par là pour gagner, ça me va. Cela n'est pas confortable pour nous, c'est vrai que cela est stressant. On ne peut pas faire beaucoup plus comme suspense, c'est top.
Vous aviez une séance de tirs au but la veille du match qui n'avait été extraordinaire...
On s'est entraîné depuis quelques temps. On s'est entraîné même régulièrement puisque l'année passée, on avait été éliminé aux penalties alors que c'est quelque chose que l'on avait travaillé, mais on ne s'était pas trop projeté. Cette année, on s'est servi de la saison passée, et c'est vrai que depuis une dizaine d'entraînements, on a dû faire cinq ou six séances de tirs au but. A un moment, on est récompensé, c'est top. L'entraînement, cela reste l'entraînement. Après quand c'est le match, il faut les marquer. Il n'y a pas de vérité, hier il y en avait pas mal qui avaient loupé mais aujourd'hui, elles ont fait 4 sur 5.
