L'Italie est une formation toujours présente au rendez-vous. Elles n'ont d'ailleurs manqué aucune des phases finales depuis le passage à 8 équipes en 1997. La Russie y participe pour la quatrième fois. Mais ces deux nations n'ont pas terminé en tête de leur groupe. Les Italiennes ont été dominées deux fois par la Suisse (0-3, 1-2) alors que la Russie qui avait déjà croisé la route de l'Allemagne (0-2, 0-4) se faisaient accrocher la Hongrie (3-3) et la Turquie (0-0) lors de ces qualifications.
Les Italiennes dirigées par Antonio Cabrini n'ont pas pour autant réussi de probants résultats en préparation et le sélectionneur peine à renouveler son effectif pour le laisser compétitif. Avec Gabbiadini en fer de lance du haut de ses 33 ans, l'Italie sera favorite face à une équipe de Russie, désormais dirigée par l'ex-internationale Elena Fomina. Désormais trentenaire, la feu génération brillante des Danilova, Sochneva, Morozova a une dernière occasion de se montrer.
Les Italiennes ont eu l'occasion de croiser deux fois la Russie lors de la phase de groupe en 2009 s'imposant 2-0 en fin de match, et en 2013 avec le même score. En y incluant les matchs amicaux, les deux équipes se sont rencontrées neuf fois avec six victoires italiennes contre trois russes, la dernière victoire restant en faveur de l'Italie lors d'un tournoi au Brésil en décembre dernier (3-0).
Les Italiennes dirigées par Antonio Cabrini n'ont pas pour autant réussi de probants résultats en préparation et le sélectionneur peine à renouveler son effectif pour le laisser compétitif. Avec Gabbiadini en fer de lance du haut de ses 33 ans, l'Italie sera favorite face à une équipe de Russie, désormais dirigée par l'ex-internationale Elena Fomina. Désormais trentenaire, la feu génération brillante des Danilova, Sochneva, Morozova a une dernière occasion de se montrer.
Les Italiennes ont eu l'occasion de croiser deux fois la Russie lors de la phase de groupe en 2009 s'imposant 2-0 en fin de match, et en 2013 avec le même score. En y incluant les matchs amicaux, les deux équipes se sont rencontrées neuf fois avec six victoires italiennes contre trois russes, la dernière victoire restant en faveur de l'Italie lors d'un tournoi au Brésil en décembre dernier (3-0).
Conférence d'avant-match des deux entraîneurs
Elena Fomina (sélectionneuse de la Russie) :
"Nous ne devons avoir peur de rien face à l'Italie. Nous devons nous concentrer sur notre propre performance parce que maintenant nous avons mis un plus grand accent sur les vacances. C'est seulement en le faisant que l'autre équipe pourra souffrir en défense et que nous pourrons réaliser quelque chose. Il n'y a pas de blessées, nous sommes tous bien et tout le monde est prêt pour le premier match."
Antonio Cabrini (sélectionneur italien)
"Toutes les équipes qualifiées sont à prendre en considération. Nous avons joué la Russie dans un tournoi au Brésil il y a six mois et nous avions gagné (3-0), mais nous devons totalement oublié ce match."
Elena Fomina (sélectionneuse de la Russie) :
"Nous ne devons avoir peur de rien face à l'Italie. Nous devons nous concentrer sur notre propre performance parce que maintenant nous avons mis un plus grand accent sur les vacances. C'est seulement en le faisant que l'autre équipe pourra souffrir en défense et que nous pourrons réaliser quelque chose. Il n'y a pas de blessées, nous sommes tous bien et tout le monde est prêt pour le premier match."
Antonio Cabrini (sélectionneur italien)
"Toutes les équipes qualifiées sont à prendre en considération. Nous avons joué la Russie dans un tournoi au Brésil il y a six mois et nous avions gagné (3-0), mais nous devons totalement oublié ce match."
LE POINT DE VUE DE FOOTOFEMININ
L'Italie a la possibilité de bien débuter sa compétition pour disposer de la Russie. Elles devront ensuite jouer avec leur habituelle agressivité pour contrecarrer la Suède. Si l'équipe n'est pas favorite, il reste toujours difficile de jouer contre une équipe qui a une culture football sans grand collectif avec un jeu cependant plein de ruse. L'Italie ne bousculera pas l'Allemagne mais il faudra suivre la confrontation face à la Suède.
La Russie dont l'ensemble de l'effectif évolue au pays fait partie des équipes les moins redoutées. En l'absence d'expatriées, il apparait difficile de juger du niveau de l'effectif russe mais son parcours de qualification a montré les difficultés de cette sélection a trouvé notamment l'efficacité offensive. Qualifié en tant que deuxième, évitant de peu les barrages, le séjour aux Pays-Bas pourrait s'avérer très court.
La Russie dont l'ensemble de l'effectif évolue au pays fait partie des équipes les moins redoutées. En l'absence d'expatriées, il apparait difficile de juger du niveau de l'effectif russe mais son parcours de qualification a montré les difficultés de cette sélection a trouvé notamment l'efficacité offensive. Qualifié en tant que deuxième, évitant de peu les barrages, le séjour aux Pays-Bas pourrait s'avérer très court.
LES DEUX SELECTIONS ET L'EURO
Les chiffres de l'Italie à l'Euro
Victoires : 0
Finalistes : 2 (1993, 1997)
Nombre de phases finales : 11e participation
Bilan en phases finales : 28 matchs, 8 victoires, 5 nuls, 15 défaites, 38 buts pour, 48 buts contre
Nombre de présence dans le dernier carré : 6
Meilleure buteuse sur une phase finale : Carolina Morace (4, 1997)
Trophée de meilleure joueuse : Carolina Morace (1997)
Les chiffres de la Russie à l'Euro
Victoires : 0
Finalistes : 0
Nombre de phases finales : 5e participation
Bilan en phases finales : 12 matchs, 3 victoires, 9 défaites, 8 buts pour, 26 buts contre
Nombre de présence dans le dernier carré : 0
Meilleure buteuse sur une phase finale : 8 joueuses à 1 but
Trophée de meilleure joueuse : -
Victoires : 0
Finalistes : 2 (1993, 1997)
Nombre de phases finales : 11e participation
Bilan en phases finales : 28 matchs, 8 victoires, 5 nuls, 15 défaites, 38 buts pour, 48 buts contre
Nombre de présence dans le dernier carré : 6
Meilleure buteuse sur une phase finale : Carolina Morace (4, 1997)
Trophée de meilleure joueuse : Carolina Morace (1997)
Les chiffres de la Russie à l'Euro
Victoires : 0
Finalistes : 0
Nombre de phases finales : 5e participation
Bilan en phases finales : 12 matchs, 3 victoires, 9 défaites, 8 buts pour, 26 buts contre
Nombre de présence dans le dernier carré : 0
Meilleure buteuse sur une phase finale : 8 joueuses à 1 but
Trophée de meilleure joueuse : -
LE MATCH
Italie - Russie : 18h00
Rotterdam (Sparta Stadion)
Arbitres : Jana Adámková (République tchèque) assistée de Maria Sukenikova (Slovaquie) et Lucie Ratajová (République tchèque). 4e arbitre : Riem Hussein (Allemagne)
Rotterdam (Sparta Stadion)
Arbitres : Jana Adámková (République tchèque) assistée de Maria Sukenikova (Slovaquie) et Lucie Ratajová (République tchèque). 4e arbitre : Riem Hussein (Allemagne)